Unetâche qui vous stresse et vous êtes incapable de ne pas céder à la panique ? Vous savez pourtant que le self control est indispensable pour un chef d’entreprise. Zoom sur ces techniques qui vous permettent de garder votre calme en toute circonstance. Comptez dans votre tête. Lorsqu’une réflexion désagréable arrive et que vous sentez la colère pointer le bout de son
S'il ne cache pas son inquiétude, Noël Le Graët appelle les acteurs du football à garder leur calme, en attendant une résolution du conflit entre Mediapro et la Ligue de football professionnel LFP. Dans un entretien au Parisien, le président de la FFF souligne tout de même les incidence d'un non paiement des droits TV sur le football sanitaire, huis clos, crise économique... comme tous les secteurs de la société, le football est fortement touché en ces temps de pandémie de coronavirus. D'autant que le conflit entre Mediapro et la Ligue de football professionnel LFP au sujet du versement des droits TV complique encore la situation. "Tout cela m'inquiète… Surtout que dans la somme globale promise par Mediapro, une partie doit revenir à la Fédération et donc à nos clubs amateurs, souligne Noël Le Graët dans Le Parisien. Si Mediapro ne paye pas ou si Canal + récupère les droits et paie moins, tout le monde sera en difficultés.""Quand tout redémarrera, les gens reviendront au stade et ça repartira""Mais il n'est pas encore l'heure de céder à la panique, poursuit le président de la Fédération française de football. On a encore un peu de temps devant nous. Mediapro n'a pas encore déposé le bilan ou déclaré qu'il arrêterait définitivement de payer. En tant que président de la Fédération, je demande donc à tout le monde de se calmer et d'attendre la fin du match."Jean-Pierre Caillot et les clubs professionnels réclament des aides supplémentaires pour surmonter la crise. "C'est vrai que les inquiétudes sont légitimes. Les clubs ont pris des engagements, ce qui était naturel car des ressources devaient arriver. Il faut pouvoir passer ce mauvais moment tous ensemble. Mais je vais peut-être en choquer certains en disant ça le foot français rebondira plus facilement que toutes ces PME en grosses difficultés. Quand tout redémarrera, les gens reviendront au stade et ça repartira", assure Noël Le Graët. Reste à savoir quand.
Ilest le capitaine d’une équipe qui a réalisé une première partie de saison décevante. Un paradoxe, tant Artur Abreu a, comme toujours, réalisé des prestations impressionnantes. Alors que l’Union Titus reprend face au Swift en cette 16e journée, le milieu offensif aborde avec franchise le bilan décevant de son club, ses objectifs, et un []
lundi, 17 mai 2010. 1634 PHILADELPHIE - Pour le vétéran Brian Gionta, se faire humilier 6-0 dans le premier match d'une série n'est pas suffisant pour céder à la même si le Canadien de Montréal semblait au tapis à la suite de cette défaite à sens unique face aux Flyers de Philadelphie, Gionta a indiqué que plus d'efforts et quelques ajustements à leur plan de match pourront les remettre sur les rails dans cette série finale de l'Est. Il pense voir ces changements dès le deuxième match de la série, mardi, au Wachovia Centre. "Une défaite est une défaite, a dit Gionta lundi. Vous tentez de trouver ce qui n'a pas fonctionné et comme c'est le premier match de la série, vous devez regarder plus attentivement ces détails. "Je ne pense pas qu'on soit si loin que ça. Ce fut un difficile début, mais c'est plus nous qui avons mal joué. Il ne s'agit pas de quelque chose qu'ils font et à laquelle nous ne sommes pas capables de réagir. Il s'agit de nous préparer et d'exécuter ce que nous voulons faire. Rien de cela ne s'est produit dimanche. J'ai confiance que nous serons en mesure de rebondir et de fournir un meilleur effort." Le Canadien a tenu une rencontre d'équipe afin de discuter de leurs nombreuses ratées du premier match et seulement huit joueurs ont patiné, surtout ceux qui n'ont pas joué ou n'ont pas vu beaucoup d'action. Le constat général était que les Flyers, plus gros et plus physiques, ont épuisé le Canadien, ont été en mesure de créer de la circulation devant Jaroslav Halak et de rendre la vie du gardien du Tricolore misérable. De son côté, le Canadien a rappelé qu'à chacune des deux rondes précédentes, contre les Capitals de Washington et les Penguins de Pittsburgh, ils ont subi une râclée, mais qu'à chaque fois, Halak et l'équipe ont rebondi pour remporter le match suivant. "Ses coéquipiers et moi avons énormément confiance que Jaro sera en mesure de rebondir", a indiqué l'entraîneur-chef, Jacques Martin. En saison régulière, Halak avait subi une sévère râclée aux mains des Flyers avant la pause olympique, mais les a blanchis à Philadelphie en avril. Alors le gardien de 25 ans ne semblait pas trop concerné. "Nous avons dû affronter cette situation d'avoir de gros joueurs devant moi dans les deux premières séries, a dit Halak. On est en séries. Ils veulent gagner le match autant que nous le voulons. Nous devons être meilleurs à les sortir de cette zone et nous serons corrects. Je dois aussi m'assurer de mieux voir le disque." Certains croient que Ryan O'Byrne, à 6 pi 5 po, sera de retour dans l'alignement pour tenter de contrer les gros joueurs des Flyers, ce qui voudrait dire que Marc-André Bergeron jouerait à l'attaque sur la quatrième ligne afin de pouvoir profiter de son tir sur le jeu de puissance. Mais Gionta, le plus petit joueur du club à 5 pi 7 po, ne croit pas que son équipe ait été intimidée, même si les Flyers ont dominé 27-19 au chapitre des mises en échecs. Pour Gionta, l'intelligence peut triompher des bras. "Ce qu'il faut, c'est de gagner nos batailles individuelles. Ça n'a rien à voir avec le nombre de mises en échecs données ou reçues. Nous n'étions tout simplement pas prêts dès le départ. "Nous ne patinions pas. Ils pratiquent un échec avant soutenu et nous devons sortir la rondelle plus rapidement et les forcer à patiner davantage. Quand ils viennent rapidement en échec avant, si on peut placer une ou deux bonnes passes, ils viendront moins rapidement la prochaine fois." En tant que groupe, le Canadien semblait fatigué, alors que les Flyers semblaient encore surchargés de l'énergie qui leur a permis de gagner le septième match contre les Bruins de Boston. Pour Mathieu Darche, c'est bien d'avoir perdu le premier match de cette façon ça permettra au Tricolore d'identifier rapidement ce qu'il doit corriger. "C'est presque une bonne affaire, a-t-il dit. Si Jaro garde les buts au-dessus de sa tête et qu'on perd 2-1, ça aurait pu cacher certains des problèmes que nous avons rencontrés. Mais maintenant, ils ont été exposés au grand jour et nous pouvons nous ajuster et aller de l'avant."

Quandbébé tombe malade, c’est rapidement la panique ! Pourtant, les maladies infantiles sont fréquentes les premières années. Alors, plutôt que de céder au stress, n’hésitez pas à vous tourner vers ce numéro unique qui vous mettra immédiatement en relation avec la pharmacie de garde la plus proche.

Selon un collectif de chercheurs, l’identité serait devenue un objet de peurs récurrentes. On nous le répète à l’envi l’identité française est en danger ! L’école n’apprend plus à aimer son pays, les quartiers sont minés par le communautarisme, l’insécurité explose, les burkinis envahissent les plages à intervalles réguliers, on nous demande d’avoir peur. A croire que la panique est devenue un gage de patriotisme. Mais l’effroi ne fait pas un projet commun, et la raison commande de commencer par s’en méfier. Emmené par Laurence de Cock et Régis Meyran, un collectif de chercheurs en sciences sociales propose un kit de survie contre à ces paniques identitaires». Panique identitaire ? L’expression vient du concept de panique morale» forgé par la sociologie anglaise. En 1964, une bataille entre bandes de jeunes à l’époque, les mods» contre les rockers»… suscite une énorme émotion. La société britannique crie à l’invasion et se sent menacée dans son existence. Aujourd’hui, on dirait dans son identité. Et c’est le fil rouge de l’ouvrage comment éviter de faire de l’identité un instrument d’exclusion ? Comment ne pas céder à la panique ? D’abord, en étant précis sur les mots. Dans un article, Régis Meyran raconte comment la notion de crise d’identité», inventée aux Etats-Unis pour diagnostiquer le malaise des adolescents, a été étendue aux groupes sociaux dominés, en particulier les Afro-Américains. Ironie de l’Histoire désormais, dans l’Amérique de Trump et dans l’Europe en proie aux démagogues xénophobes, c’est le groupe dominant qui affirme souffrir de problèmes d’identité. Deux autres termes d’usage récent font l’objet d’un travail généalogique similaire, communautarisme» et France périurbaine». Fabrice Dhume et Cécile Gintrac mettent au jour la réduction de la réalité à une poignée de formules chocs qu’on se jette au visage dans les débats télévisés, à seule fin de semer la peur. […] Le Nouvel Obs
CodyCrossSaisons Groupe 78 Grille 2 Le garder, c'est ne pas céder à la panique SANGFROID CodyCross Gonflement des tissus dû à la présence de liquide CodyCross Tissu en coton à tissage serré et imperméable
Les atrocités vécues à Paris dans différents lieux de la capitale, vendredi 13 novembre, laissent un pays choqué par les attaques revendiquées sans surprise par le groupe État islamique. Les meurtres de plus d’une centaine de victimes ont été principalement commis dans des arrondissements de la capitale souvent fréquentés pour leurs activités nocturnes – qu’elles soient plutôt calmes ou festives. Pour les désigner, le terme de rues blanches » commence d’ailleurs à émerger. Loin de toutes perspectives racistes, il définit ces rues où les terrasses de café, les restaurants se remplissent majoritairement de français ou de touristes curieux et désireux de découvrir la vie de l’hexagone, de discuter comme sur une page blanche, d’échanger des pensées libres, toujours à la découverte d’idées progressistes. Les valeurs énoncées de liberté, égalité et fraternité » s’y égrènent çà et là selon les conversations, les niveaux intellectuels, les mélanges de cultures et les lieux d’ouvertures culturelles et de divertissements. Le Bataclan, célèbre salle de spectacle, se trouve justement dans une de ces rues blanches ; mais en ce soir du vendredi 13 novembre, ses clients, amateurs de musique ont vécu un acte de guerre », comme le précise le Président de la République française lors de son allocution télévisée du lendemain matin. Ceux-là mêmes qui venaient assister au concert du groupe californien Eagles of Death Metal ont été parfois massacrés sous les balles froides et déterminées de jeunes extrémistes. Les survivants, toujours choqués, pleurent les corps sans vie de leurs proches plusieurs heures encore après le drame, comme l’ensemble de la population française qui, dans un sentiment d’impuissance, tente de rester forte, unie et de garder la tête froide pour ne pas céder à la menace. L’affiche du concert de Eagles of Death Metal. DR Au-delà de ces victimes, ce massacre touche l’humanité et à travers elle, la culture. La violence des attaques-fusillades simultanées par des jeunes hommes aux visages non masqués prouve qu’ils voulaient défier une capitale de renommée culturelle internationale et se sentaient investis d’une mission. Pour certains d’entre eux, il est possible que le fait de tuer les clients du Bataclan soit aussi un acte d’adoration binaire où tout est bon ou mauvais. Ainsi la musique est, pour certains musulmans intégristes, haram », autrement dite interdite. Il serait illicite, pour eux, d’écouter et/ou d’assister à des concerts. C’est ce que montre une vidéo de l’imam de la mosquée sunna de Brest, Rachid Houdeyfa, qui devant une vingtaine d’enfants, insiste sur le fait que la musique est pour le diable chaïtan » et les menace d’ être engloutis par la terre » ou changés en porc ou en singe » s’ils pratiquent ou écoutent de la musique. L’amour du spectacle et de la musique Quid des cours de musique obligatoires et des sorties musicales proposées par les écoles françaises et des relations à venir avec les enfants recevant un double discours ? Quid de la pratique des instruments de musique, des traditions et des savoir-faire musicaux, tant dans la fabrication des instruments, dans les techniques de chant que dans la pratique instrumentale ? Il est un fait certains musulmans radicaux et les terroristes refusent la musique et pensent que ceux qui l’écoutent doivent recevoir un châtiment. Dans cet axe de pensée donc, pas loin d’un millier d’hommes et de femmes sont devenus otages et ont vécu l’horreur de bras armés de fusils d’assaut des terroristes pour l’amour du spectacle et de la musique. Un tel discours ne peut qu’alerter sur la liberté d’expression artistique et inciter à rappeler que la création artistique est libre d’être et d’exister dans la paix et pour la paix. Le refus de céder à la panique et de ne pas se soumettre à la terreur peut permettre à ce jour de clamer haut et fort que la lumière de l’esprit peut être apportée par la culture. Que la musique est un art qui doit adoucir les mœurs, qu’elle est un acte de création et que de simples notes de musique deviennent, aujourd’hui, un hommage aux victimes et un symbole celui de la liberté.
Voicile mot à trouver pour la définition "Le garder, c'est ne pas céder à la panique" ( groupe 78 – grille n°2): s a n g f r o i d Une fois ce nouveau mot deviné, vous pouvez retrouver la solution des autres mots se trouvant dans la même grille en cliquant ici. Sinon, vous pouvez vous rendre sur la page sommaire de Codycross pour retrouver la solution complète du jeu. 👍 . Le Toujours en quête d’un second souffle, et sans leur pierre angulaire Draymond Green, les Warriors ont désormais perdu quatre de leurs cinq dernières sorties. Et le revers concédé cette nuit, chez les Bucks, a de quoi inquiéter. Dominés dans tous les compartiments du jeu par les champions en titre, sans doute désireux d’envoyer un message au reste de la ligue contre une grosse écurie, les hommes de Steve Kerr ont pris l’eau de bout en bout. Notamment dans cette première mi-temps à l’issue de laquelle ils accusaient pas moins de… 39 points de retard ! Attaque, défense, combat, rebond rien n’a fonctionné pour les Dubs », largement distancés après un seul quart-temps 37-21 et déjà en train d’agiter le drapeau blanc à la pause 77-38. Une soirée sans pour eux, tout simplement. La vérité d’un match n’est jamais celle des autres Pour autant, malgré les difficultés rencontrées récemment par ses joueurs, plus autant inspirés qu’auparavant sur le plan du jeu, le coach de Golden State ne souhaite surtout pas s’inquiéter, au sortir de la pire prestation collective de la franchise en 2021/22. Je sais que nous venons de nous faire botter les fesses, mais il s’agit simplement d’une mauvaise passe », tempérait-il, après coup. Toutes les équipes en connaissent une en cours de saison, à quelques exceptions près. Nous affrontions une équipe prête et qui jouait très, très bien en première mi-temps. Nous, nous étions un peu à côté de nos pompes et nous devons nous remettre sur de bons rails. Ce que nous ferons. » Même son de cloche chez Stephen Curry, décevant à Milwaukee 12 points et 4 pertes de balle, à 4/11 aux tirs et 2/6 à 3-points, à l’image de tous ses coéquipiers sauf peut-être Andrew Wiggins et Jonathan Kuminga, mais qui en a connu d’autres par le passé. Nous avons pris un départ horrible et tout est allé de mal en pis, des deux côtés du terrain », regrettait d’abord le meneur All-Star, en pleine crise d’adresse 35% aux tirs et 30% à 3-points depuis le 25 décembre…. Dans ce genre de situation, vous vous comparez à vous-même. Mais il faut garder confiance en soi, en son identité. Nous avons battu de très bonnes équipes jusqu’à présent, mais nous avons aussi perdu contre de très bonnes équipes et nous nous sommes carrément faits corriger à quelques reprises. C’est comme ça que ça se passe dans une saison de 82 matchs. Mais ce qui est compliqué, c’est de corriger au plus vite les aspects négatifs qui reviennent soir après soir. Il faut rapidement redresser le navire, mais il n’y a pas de panique. » Un équilibre à retrouver Un discour/span> Hier1017Le retour de la Air Jordan 11 IE Low Hier948Du très beau monde pour le Basketball Without Borders Africa en Égypte Hier924WNBA Rhyne Howard élue Rookie Of The Year » Hier859La super attaque du Canada fait plier l’Argentine Hier838Les Celtics ont conscience d’avoir une cible dans le dos Hier806Team USA ne fait qu’une bouchée de l’Uruguay Hier740Taurean Prince placé en détention provisoire Hier715Le calendrier complet de la présaison 25 Août2300Malgré 40 points de Giannis Antetokounmpo, la Grèce chute en prolongation face à la Serbie Afficher les actus NBA suivantes Dèsle 1er janvier 2023, les pires passoires thermiques (qui consomment plus de 450 kwh par m² et par an) ne pourront plus être louées. Environ 140.000 logements classés G sont concernés l'essentiel À compter de ce lundi, le port du masque n'est plus obligatoire dans les lieux clos, comme les entreprises, les écoles, les services publics ou encore les magasins... Mais faut-il pour autant abandonner l'abandonner tout le temps ? Éclairage de Cyrille Delpierre, épidémiologiste à l'Inserm de Toulouse. Depuis ce lundi 14 mars, la France est démasquée. Parmi l'allègement des restrictions sanitaires visant à combattre l'épidémie de Covid-19, on compte notamment la fin du pass vaccinal, mais aussi et surtout la fin du port du masque obligatoire dans la plupart des lieux clos. Exception faite pour les transports en commun bus, métro, avion, train ou les établissements de santé, qui imposent encore le port de cette protection faciale. Mais faut-il pour autant ôter son masque partout et tout le temps ? Pour Cyrille Delpierre, épidémiologiste à l'Inserm de Toulouse, il s'agit surtout de faire preuve de logique "Dans des bureaux ou plus largement des espaces confinés et peu aérés, il vaut mieux garder le masque, surtout au vu de la transmission actuelle du virus". Espaces saturés "Les plus de 80 ans et les personnes à risque face au Covid-19 devraient continuer à se protéger. conseille le chercheur. De manière générale, il vaut mieux garder le masque dans tout espace où l'air peut vite se retrouver saturé." Comme le rappelait ce matin l'épidémiologiste Arnaud Fontanet au micro de France Inter, il en va désormais de la responsabilité de chacun "C'est une décision individuelle qui dépend de votre propre fragilité." Cyrille Deliperre craint par ailleurs des inégalités dans l'appréciation des risques d'infection "Tout le monde n'évalue pas de la même manière les situations à risque face au Covid-19. Il y a pourtant une réalité épidémiologique qui montre bien qu'enlever le masque peut relever, dans certains cas, d'une prise de risque. Par exemple, lors de réunions d'entreprise où les gens parlent et échangent, la transmission de gouttelettes respiratoires peut être importante, et ainsi favoriser les contaminations." Concrètement, si vous vous trouvez en présence de personnes à risque dans un endroit clos et peu aéré bureau, cinéma, boutique, salle de concert..., n'hésitez pas à mettre un masque pour éviter de les contaminer. À l'heure où le nombre de nouvelles contaminations s'élevait à 70 000 ce samedi 12 mars, soit 10 000 de plus que la semaine précédente, la progression du variant montre bien que le virus est toujours là. Mais il ne faut pas céder à la panique "Nous ne sommes plus au même stade qu'il y a un an, la plupart de la population est vaccinée", rassure le scientifique. LeGarder C'est Ne Pas Céder À La Panique Solution. Réponses mises à jour et vérifiées pour le niveau CodyCross Saisons Groupe 78. Solution. Le garder c'est ne pas céder à la panique Solution . S A N G F R O I D. Gonflement Des Tissus Dû À La Présence De Liquide. Tissu En Coton À Tissage Serré Et Imperméable . CodyCross Saisons Groupe 78. Toutes les réponses à
Chers fans de CodyCross Mots Croisés bienvenue sur notre site Vous trouverez la réponse à la question Le garder c’est ne pas céder à la panique . Cliquez sur le niveau requis dans la liste de cette page et nous n’ouvrirons ici que les réponses correctes à CodyCross Saisons. Téléchargez ce jeu sur votre smartphone et faites exploser votre cerveau. Cette page de réponses vous aidera à passer le niveau nécessaire rapidement à tout moment. Ci-dessous vous trouvez la réponse pour Le garder c’est ne pas céder à la panique Le garder c’est ne pas céder à la panique Solution SANGFROID Les autres questions que vous pouvez trouver ici CodyCross Saisons Groupe 78 Grille 2 Solution et Réponse.
Legarder, c'est ne pas céder à la panique Tissu en coton à tissage serré et imperméable Avenue parisienne arrivant sur les Champs-Elysées Haut chef spirituel du Tibet Compositeur fétiche de Luc Besson Météore présentant les couleurs du spectre Désigne une situation lassante et répétitive Se dit d'une personne persuadée d'être aimée

La solution à ce puzzle est constituéè de 9 lettres et commence par la lettre S CodyCross Solution ✅ pour LE GARDER C'EST NE PAS CÉDER À LA PANIQUE de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres types d'aide pour résoudre chaque puzzle Voici Les Solutions de CodyCross pour "LE GARDER C'EST NE PAS CÉDER À LA PANIQUE" CodyCross Saisons Groupe 78 Grille 2 2 1 Partagez cette question et demandez de l'aide à vos amis! Recommander une réponse ? Connaissez-vous la réponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! CODYCROSS Saisons Solution 78 Groupe 2 Similaires

Ce n'est pas une excuse, mais quand même. Ne jamais pouvoir disposer d'un effectif à peu près au complet, cela devient compliqué. » Pour

Un raisonnement imparable le mouvement de baisse actuel semble lié donc aux anticipations négatives des investisseurs quant à l'éventuel impact global que pourrait générer une crise du secteur immobilier sur le reste de l'économie».De fait, renchérit-on, cette décrue ne pourrait en aucun cas être une conséquence directe de la faillite de certaines banques internationales en relation avec la crise des subprimes; le système financier marocain banques, assurances et Bourse n'étant pas exposé à ce genre de risque. Des explications, somme toute, qui sont étayées par le dernier rapport du FMI 16 septembre Ndlr. Pour l'institution financière internationale, en effet, les répercussions purement financières des turbulences mondiales du crédit ont été très limitées, car la dette extérieure du Maroc est peu élevée et à échéance longue, et parce que les politiques macroéconomiques ont été renforcées. Jusqu'à présent, précise le FMI, le Royaume n'a guère été affecté par les effets de ces turbulences financières mondiales. Les indicateurs du marché financier n'ont fait apparaître aucun signe visible de dégradation de la perception du risque au Maroc par rapport à d'autres marchés émergents. Les réserves officielles brutes couvrent % de la dette extérieure à court terme, ce qui témoigne, en partie, de la gestion prudente de la dette et des flux continus d'IDE et d'envois de fonds des MRE. Globalement, le secteur financier est solide et résistant aux chocs. Les provisions des banques sont généralement suffisantes et ces dernières sont peu exposées aux risques extérieurs, que ce soit du côté de l'actif ou du passif, ce qui réduit considérablement la transmission des risques des marchés financiers mondiaux à l'économie réelle. De plus, les autorités continuent d'améliorer la supervision afin de suivre les risques de plus près à mesure que l'économie s'ouvre, tout en surveillant de près la récente expansion vigoureuse du crédit. Celui-ci a crû de 60 % d'avril 2006 à avril 2008, et les taux de défaillance pourraient augmenter dans les années qui viennent. Cependant, un certain phénomène de rattrapage est à l'oeuvre, compte tenu de l'approfondissement de l'intermédiation financière. De plus, la croissance du crédit est généralisée, et concerne notamment le crédit d'investissement à long terme, ce qui pourrait stimuler la croissance potentielle. La dernière enquête de BAM sur les conditions d'octroi du crédit indique que celles-ci sont devenues plus rigoureuses pour les grandes sociétés, en partie pour freiner les risques de concentration. Ceci dit, BMCE Capital va loin en expliquant que si le spectre d'un marasme du secteur immobilier est bien réel, ses répercussions ne devraient pas être aussi importantes qu'imaginées». En cas de retournement du marché, les prix de vente devraient être revus à la baisse sans pour autant impacter les Business Plans initialement établis construits sur des bases conservatrices par les sociétés immobilières cotées, du moins pour les deux années à venir. Sur le plan macro-économique, il faut rappeler que la dynamique du secteur BTP provient également des efforts de l'Etat en matière d'infrastructures autoroutes, aéroports, ports, etc.. Les travaux publics pourraient compenser tout éventuel ralentissement de l' et au volet fondamental, la Bourse présente des niveaux de valorisation corrects pour une place émergente en phase de analystes de BMCE Capital Bourse préconisent, en conséquence, de ne pas céder à la panique et de procéder plutôt à des arbitrages en privilégiant une véritable stratégie de stock picking aussi bien à la vente qu'à l'achat. Rappelant que les quatre années de crise que le marché boursier marocain a vécues entre septembre 1998 et juin 2002 ont été riches en enseignements pour l'ensemble des intervenants de la Place, ces mêmes anlaystes estiment qu'un des éléments-clés ayant concouru à la précipitation de la baisse de l'indice de référence de l'époque fut incontestablement la surabondance des liquidités face à une étroitesse patente de l'offre, notamment celle de nouveaux papiers. Flash Back la reprise entamée à partir de juillet 2002, et qui a perduré jusqu'à la mi-mars 2008, a largement profité d'un retour du climat de confiance née de la persistance de la liquidité sur le marché ainsi que de la cotation d'une trentaine de titres dont une part importante était de mouvement haussier, qui s'est au départ nourri de la profondeur apportée par l'introduction en Bourse de Maroc Telecom, s'est accéléré par l'arrivée des valeurs immobilières. Les niveaux de valorisation élevés de ces dernières n'ont pas inquiété au départ car elles étaient considérées comme des valeurs de croissance dont le potentiel devrait se manifester à moyen terme. Les perspectives de croissance bénéficiaire globale des sociétés cotées ont également soutenu l'orientation favorable du marché +22% en 2004, +26% en 2005, +17% en 2006 et +31% en 2007, bien que pour certaines valeurs, le trend emprunté de leur cours semble avoir été en déconnexion avec leurs le marché s'est bien comporté en début d'année affichant un pic de performance à +17,6%, le 13 mars 2008, il est rapidement entré dans une phase de consolidation à la baisse qui a duré pratiquement six mois. La publication de bonnes réalisations en 2007 par les sociétés cotées semble avoir été insuffisante pour maintenir le trend haussier observé depuis la même, le rythme des introductions en Bourse, sensées dynamiser la Place et niveler par le bas ses niveaux de valorisation, a baissé puisque, sur les neuf premiers mois de l'année, seules cinq valeurs ont accédé à la cote. La période de stagnation de la Place s'est accompagnée à sa fin par une insuffisance de profondeur reflétée par des volumes de plus en plus faibles, un manque de visibilité de la part des opérateurs du marché et un vraisemblable début de désengagement des investisseurs étrangers. Pour BMCE Capital Bourse, ce sont précisément les signes précurseurs d'un essoufflement du marché, exacerbés par les prémices d'un ralentissement annoncé pour le secteur du bâtiment. Dans ces conditions, les investisseurs ont fini par céder à l'incertitude en se positionnant à la vente sur pratiquement toutes les valeurs, occasionnant un trend baissier de forte amplitude -13,2% sur les neuf dernières séances et faisant basculer les performances annuelles des indicateurs de référence au rouge pour la première fois depuis fin Maroc a fait des progrès substantiels sur le front de la réforme du secteur financier; le secteur est sain et la supervision adéquate. Le secteur financier fait preuve d'une bonne résistance aux chocs et les turbulences actuelles des marchés internationaux de crédit ne l'ont guère affecté. Il convient de poursuivre les efforts de renforcement de la supervision bancaire, notamment de réduire les risques de concentration et de consolider les capacités de gestion du risque des institutions marocaines pour les préparer à une économie et un système financier plus ouverts. L'essor rapide du crédit doit continuer à faire l'objet d'une grande vigilance, surtout dans le secteur de l'immobilier. Bien que l'évolution récente du crédit puisse refléter un rattrapage de bon augure, un certain relâchement des conditions de crédit s'est fait jour par ailleurs, s'agissant notamment du crédit immobilier. Pour le FMI, la réponse des autorités a été globalement adéquate et une vigilance constante est justifiée. Il convient de saluer l'intention des autorités de relever le ratio minimum de fonds propres à 12% avant la fin 2009, ce qui est conforme aux meilleures pratiques des pays émergents.

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