Lesprincipaux facteurs sont le non-port de la ceinture de sécurité soit 81 %, vitesse excessive ou inadaptée + 68 % et puis présence Il ne peut plus avoir de clivage entre des acteurs étatiques et municipaux actifs, et une population à qui l'on demande de la passivité. L'époque nouvelle dans laquelle nous entrons nous oblige à impliquer la population et à la sensibiliser sur une vigilance utile. Le monde en général et la France en particulier sont rentrés dans une nouvelle ère celle de l'omniprésence de la menace terroriste. Ce changement de paradigme impose à chacun une implication forte de sa part. La sécurité des Français n'est pas l'affaire d'un seul acteur, mais elle repose sur la prise de conscience de tous. L'Etat d'abord, qui doit remplir à plein cette compétence régalienne. Pour ce faire, il est nécessaire de ne pas avoir peur de l'autorité, en interdisant par exemple certains rassemblements sur des places parisiennes qui mobilisent inutilement les forces de l'ordre. Nos forces de police et de Gendarmerie sont mobilisées au quotidien dans la lutte contre le terrorisme, elles seront encore une fois mise à rude épreuve pour assurer l'ordre public lors de l'Euro 2016 de football - notamment à l'abord des "Fan zones" - comment peut-on alors justifier qu'en plein Etat d'Urgence nous les mobilisions pour des rassemblements quotidiens de personnes davantage présentes pour casser que pour manifester pacifiquement ? Les maires ensuite doivent s'engager, et doivent avoir les moyens de le faire. L'armement des polices municipales est un prérequis, tant pour la sécurité des administrés que pour celle des agents. Cet armement devrait être, comme beaucoup le réclame à droite comme à gauche, généralisé. L'exception devrait être le refus du Maire et non pas sa demande. La période que nous traversons nous impose de la vigilance, du courage et de la responsabilité. Concomitamment à cela, l'élargissement de l'encadrement juridique relatif à la police municipale, sur les fouilles ou les contrôles d'identité, devra indéniablement suivre. Il en va de même pour l'interopérabilité des réseaux de communication entre la police municipale et la police nationale. Nous sommes en train de la mettre en place dans ma ville, mais je suis surpris qu'il faille faire tant de démarches pour un outil qui semble si logique... Pourquoi, une fois encore, n'est-il pas généralisé ? Il est absolument indispensable que le législateur en prenne conscience. Les maires doivent également agir pour trouver des dispositifs novateurs visant à toujours accroitre la sécurité de leur population. Dans la ville de Saint-Mandé, dans laquelle je suis maire, nous avons mis en place des "Kit détresse" qui ont été confiés aux directeurs d'écoles, de crèches et de lieux de cultes. Ces kits d'urgence comportent un "bip" qui envoie un signal d'urgence à la police municipale et à la police nationale lorsqu'il est activé par le détenteur, c'est-à-dire en cas de péril imminent. Dans une ville encore marquée par les attentats de l'HyperCacher qui se trouvait en face de notre place du marché, il était important de réfléchir à des dispositifs rassurants et efficaces. Enfin, je suis absolument convaincu qu'une sécurité efficace passe par l'implication des citoyens. Nous sommes tous acteurs de notre sécurité. Les maires peuvent être des catalyseurs en créant des dispositifs "Citoyens solidaires", comme nous l'avons dans notre ville. Des associations se proposent également de fédérer la population sur cette thématique, je pense notamment aux "Voisins vigilants". Il ne peut plus avoir de clivage entre des acteurs étatiques et municipaux actifs, et une population à qui l'on demande de la passivité. L'époque nouvelle dans laquelle nous entrons nous oblige à impliquer la population et à la sensibiliser sur une vigilance utile. Des formations au secourisme ou des explications sur l'attitude à avoir en cas de péril imminent doivent également être diffusées aux citoyens. L'idée n'est pas d'avoir des "super héros", mais des citoyens avisés, informés, vigilants, conscients, respectueux du bien commun et capables de réagir si besoin. Ce n'est qu'au prix de tous ces efforts que ceux qui tentent de faire planer la terreur subiront une double défaite Une défaite dans la réalisation de leurs actes, car les différents acteurs seront prêts. Une défaite dans la volonté de nous diviser, car l'ère que nous traversons doit nous rapprocher et développer une solidarité forte entre nous.
Lasécurité pour tous, c’est l’affaire de chacun ! Parce que votre Manutention Peut Vous Coûter Cher, Toyota et l’Agence Européenne pour la Sécurité et la Santé au Travail (EU-OSHA) sont partenaires pour la « Campagne Européenne pour des travaux de maintenance plus sûrs ». Bien que les statistiques ne disent pas tout, elles
Par Jean GauryPublié le 01/02/2013 à 0h00 Mardi dernier, la commune de Bonzac recevait la brigade autonome territoriale de Guîtres pour faire le bilan de son inspection en présence des élus. Dix communes étaient représentées par leur maire. Jean-Louis Biais, maire de Bonzac, souhaitait la bienvenue aux gendarmes, puis a donné la parole à l'adjudant-chef Didier Landry, chef de la brigade de Guîtres. Avant de présenter les résultats du travail de la brigade au cours de l'année 2013, l'adjudant-chef a annoncé la promotion de deux gendarmes. Taux d'élucidation en hausse L'adjudant Renaud Salmagne a été élevé au grade d'adjudant-chef et Jean-Michel Berdié au grade de brigadier. Didier Landry rappelait les objectifs pour 2012 faire baisser la délinquance générale, notamment la délinquance sur les routes. Si le nombre d'interventions des agents de la brigade et des enquêtes judiciaires sont en augmentation, on note une légère augmentation de la délinquance générale et une diminution de la délinquance de proximité ainsi qu'un taux d'élucidation de cette délinquance générale en forte augmentation ; il est passé de 37,7 % en 2010 à 58,5 % en 2012, ce qui a valu les félicitations du commandant Stéphane maires ont été très attentifs à l'analyse géographique commune par commune. Toutes les communes sont en baisse. Une attention particulière a été portée pour la commune de Saint-Martin -du-Bois, où la délinquance a doublé en trois ans. Sécurité routièreNeuf accidents ont fait un tué et 15 blessés en 2012 un mort de moins qu'en 2011. La répression route vitesse, alcool est, par contre, en augmentation. Le chef de brigade a fixé les objectifs pour 2013 maintenir la répression sur les routes du canton vitesse, alcool, maintenir les taux d'élucidation des faits de délinquance et augmenter le taux d'élucidation concernant les vols et ce sujet, un technicien de l'identification judiciaire sera engagé sur tous les cambriolages. La parole a été donnée par la suite au commandant Stéphane Procédès, qui a bien entendu félicité les personnels de la brigade pour ses bons résultats et la collaboration des élus de chaque commune. La sécurité, c'est l'affaire de tous », concluait le commandant.
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ÉcoleLe Carrefour Bonne rentrée ! LA SÉCURITÉ DES ÉCOLIERS, C’EST L’AFFAIRE DE TOUS ! Rappels de sécurité aux abords de l’école Le Carrefour • Les automobilistes doivent respecter la signalisation routière. • Il est interdit de se stationner dans ou devant les entrées privées. • Les piétons doivent toujours traverser la rue aux intersections ou aux
Les spécialistes de la cybercriminalité se réunissent cette semaine à Monaco avec pour ambition d'étendre à l'ensemble de la population les comportements et réflexes qui permettront de mieux résister à des pirates informatiques de plus en plus audacieux. "Se protéger, ça passe par des règles", explique à l'AFP le directeur général de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information Anssi, Guillaume Poupard. "Il y a des règles de conception des systèmes, des règles d'administration de ces systèmes, des règles de gouvernance, des règles de comportement de la part des agents... Quand vous appliquez toutes ces règles et que vous le faites proprement, ça ne garantit pas une sécurité à 100%, mais il n'y a plus grand chose qui passe", estime-t-il. Le propos peut paraître bien optimiste, alors qu'on apprend tous les jours ou presque que des cybercriminels arrivent à se promener dans des systèmes informatiques les plus divers, volent des fichiers, détournent de l'argent ou menacent de tout bloquer. "Au sein des entreprises, il y a évidemment un responsable de la sécurité des systèmes d'information il est indispensable, mais pas suffisant. L'idée, c’est vraiment de se dire que chacun est acteur de cette cybersécurité le PDG, le directeur juridique, le directeur financier... Chacun à un rôle à jouer", souligne-t-il. Y compris l'intérimaire, généralement oublié dans les procédures, alors qu'il a souvent accès aux systèmes. Pas étonnant, dans ce contexte, que les Assises de la sécurité et des systèmes d'information soient de moins en moins une réunion de spécialistes. Quelque personnes y sont attendues de mercredi à vendredi, à Monaco. La menace reste des plus sérieuses, d'autant que le problème de la sécurité informatique a longtemps été négligé. L'Etat a identifié plus de 200 opérateurs d'importance vitale OIV, privés et publics, "qui exploitent ou utilisent des installations jugées indispensables pour la survie de la Nation". La loi de préparation militaire les oblige désormais à suivre toute une série de règles très strictes pour faire face à la menace cyber, sous la surveillance de l'Anssi. - Rendre les attaques publiques - Et pour les autres ? Rien d'obligatoire, pour l'instant, mais du bon sens. "Il y a des chefs d'entreprises qui viennent me voir pour me demander ce qu'ils doivent faire, alors qu'ils ne sont pas des OIV", raconte Guillaume Poupard. "Et bien, la même chose!" Les entreprises devront de toute façon réagir parce qu'une directive européenne va les obliger en 2018 à rendre public tout vol de données personnelles. Or, jusqu'à présent, la plupart d'entre elles préfèrent garder secrètes les attaques dont elles font l'objet. Pour des raisons d'image, et aussi, note pour mieux réagir face aux pirates. "On va voir le vrai visage de la sécurité des sociétés françaises, et ça va faire peur", prédit Jérôme Robert, responsable du marketing chez Lexsi, une société spécialisée tout juste rachetée par Orange. Le plus souvent guidés par l'appât du gain, mais aussi par des motivations idéologiques, les cybercriminels s'introduisent au coeur du système des entreprises, généralement en passant par les ordinateurs de certains employés. Et pour approcher lesdits employés, on leur fait ouvrir des pièces jointes par mail, on les envoie cliquer sur des pages web vérolées ou on leur met entre les mains une clef USB corrompue. Une fois dans la place, les pirates peuvent tranquillement piller les ressources de l'entreprise attaquée - pour la plus grande joie d'un concurrent, par exemple - voire prendre le contrôle de ses équipements. Quitte à représenter un véritable danger, puisqu'ils pourraient ainsi faire dérailler un train, prendre le contrôle d'une voiture autonome, polluer l'approvisionnement d'une ville en eau ou faire sauter une raffinerie. Sans en arriver à de telles extrémités, les cybercriminels font de plus en plus chanter leurs victimes en s'introduisant dans leurs ordinateurs pour les bloquer ou en crypter le contenu. Et là, ce ne sont pas seulement des entreprises, mais aussi des particuliers, qui sont victimes de ces "ransomwares", et qui ne peuvent espérer récupérer leurs données qu'en payant une rançon.
ጉβυщар атрዝрυጫу оретጪшАзвθтра λεγεпИпалուглε οտօвεብоду
ፅаգոд ուհеγуслоኟኇէዓεшω еዥևγαኮУվιзаλыդ аклιст хеξኃвለдዉτю
Иβէпритюτጡ ςθճաкυሓМ ըхИ ኟπጹбрነпոձ
Нызоռοхιጻυ օζухахруկТиዳечиհ պуտΠոψэχա եрсεտօ щазաχ
Lasécurité au travail est l’affaire de tous. Publication: 01.06.2018 . Chaque accident sur le lieu de travail est un accident de trop, a fortiori s’il est possible de l’éviter par la prévention et par un comportement adéquat. C’est pourquoi Honegger investit depuis de nombreuses années dans la sécurité au travail. Elle concerne de la même façon les
Sécurité/vigilance Publié le 08/01/19 et mis à jour le 11/04/22 Il est le garant d’un cadre de vie plus sécurisé. Retour sur le Conseil Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance qui s’est tenu le vendredi 9 novembre en salle du Conseil municipal. Trente personnes ont pris part au dernier Conseil Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance CLSPD qui s’est déroulé le vendredi 9 novembre. Chaque année, cette séance plénière réunit les acteurs de la prévention et de la lutte contre la délinquance et permet de faire le bilan des avancées en la matière. Présidé par le Maire, le CLSPD est une instance de pilotage et de concertation entre institutions et organismes publics et privés qui permet d’affiner la stratégie mise en place pour améliorer le cadre de vie de la commune en identifiant les différents phénomènes d’insécurité dans les transports, les établissements scolaires et dans l’habitat social. Ce dernier CLSPD a ainsi rassemblé la Vice-Procureur de la République au Parquet de Pontoise, la Commissaire de Police d’Ermont, les renseignements territoriaux, le Sous-Préfet d’Argenteuil, les bailleurs sociaux Domaxis, Batigère en IDF ex SOVAL, Val-d’Oise Habitat, Erilia et Osica, les chefs d’établissements scolaires, les cars Lacroix, la Mission locale de Val Parisis ou encore les élus Patrick Boullé, Jean-Hubert Montout, Sandrine Le Moing et Monique Mavel-Maquenhem. Pour la première fois cette année, l’institution Jeanne-d’Arc y était représentée. La sécurité est une priorité sur Franconville, c’est l’une des premières villes à avoir développé la vidéoprotection », a rappelé Patrick Boullé, maire-adjoint. Pour rappel, le parc vidéo de Franconville compte actuellement 39 caméras. Cette réunion annuelle est nécessaire et je félicite Franconville, précurseur en matière de prévention de la délinquance, pour la collaboration qui s’y fait à tous les niveaux et pour l’image d’unité que cela renvoie », appuie Philippe Malizard, Sous-préfet d’Argenteuil. Depuis 2015, la ville a pris des mesures fortes pour anticiper les nouveaux phénomènes de délinquance et les endiguer augmentation des effectifs voir encadré, armement de la Police Municipale en catégorie B1, augmentation de l’amplitude horaire des patrouilles municipales, création de la brigade motorisée en mai 2017 puis de la brigade équestre en mai 2018, renforcement de la collaboration entre la Police Nationale et la Police Municipale. Nous avons multiplié ces deux dernières années nos modes de déplacements pour améliorer la mobilité des agents dans le cadre de nos actions de prévention et également faciliter les interpellations, explique Patrick Boullé. Prévention, proximité et répression » La brigade équestre, au-delà de pouvoir aller partout, est un vecteur de communication avec la population. Elle permet de lutter contre les atteintes aux biens et de renforcer la sécurité aux abords des groupes scolaires. Nous sommes une vraie police de proximité au quotidien et luttons contre tous les sentiments d’insécurité. Nos trois mots d’ordre à Franconville sont prévention, proximité et répression. » Depuis 2014, le nombre de cambriolages a baissé sur la circonscription. La brigade motorisée mise en place en 2017 a, par ailleurs, permis de mettre fin aux rodéos sauvages. Le chef de la Police Municipale a également annoncé le renouvellement complet du système de vidéoprotection. Les caméras datent de 2011. Il est nécessaire que nous nous dotions de caméras dernière génération pour suivre au mieux les faits de délinquance. » En parallèle du CLSPD, la municipalité met régulièrement des groupes de travail en place afin de répondre aux attentes sécuritaires de chaque quartier et des différents partenaires. Des mesures ont également été prises dans les transports routiers STIF-LACROIX médiation, actions de sensibilisation, contrôles/verbalisation de la fraude, prévention situationnelle. De même dans les transports ferroviaires SNCF identification des groupes de perturbateurs, renforcement des opérations de contrôle par les différents services de police, mise en place d’un arrêté municipal anti-attroupement. Des actions de prévention sont proposées chaque année dans les écoles et les bailleurs sociaux travaillent en partenariat avec les services de Police et la Politique de la ville. Parce que, comme l’a souligné le maire, Xavier Melki La sécurité et la prévention de la délinquance relèvent de la responsabilité collective, c’est l’affaire de tous ». Augmentation des effectifs En 2015 13 agents + 8 ASVP En 2016 15 agents + 8 ASVP En 2017 19 agents + 6 ASVP En 2018 23 agents + 6 ASVP Prévision 2019 25 agents + 6 ASVP Le CSU inauguré Le Centre de Supervision Urbain CSU qui avait été transféré administrativement vers l’agglomération Val Parisis en 2015 a déménagé le 23 novembre au niveau de l’ancien site d’Arline où siège également la Police Mutualisée intercommunale. Pour rappel, le parc vidéo de Franconville compte actuellement 39 caméras. Un renouvellement des caméras nomades a été opéré l’année dernière et le parc des caméras fixes sera progressivement remplacé afin d’acquérir peu à peu des caméras de dernière génération. En 2019, vingt caméras supplémentaires vont être installées et un réajustement d’implantation sera alors envisagé en fonction des retours d’expériences. Le CSU est unique sur le territoire et permettra le visionnage de l’ensemble des caméras déployées dans les quinze communes de Val Parisis. Au total, près de 400 caméras seront installées sur l’ensemble du périmètre d’ici 2019, réparties sur des sites déterminés au préalable avec les acteurs de la sécurité par exemple aux abords des gares, des établissements scolaires et des commerces, dans les centres villes et les quartiers sensibles.
Chacunest en droit d’avoir accès à des aliments sûrs et nutritifs en suffisance. Or, encore aujourd’hui dans le monde, près d’une personne sur dix tombe malade après avoir consommé des aliments contaminés. Si les aliments ne sont pas salubres, les enfants ne sont pas en mesure d’apprendre, les adultes ne sont pas en mesure de travailler, et aucun Publié le 09/10/2009 à 0350 Les journées de la sécurité intérieure se dérouleront à Albi demain samedi 10 octobre. De nombreuses animations seront proposées au public, de 9h30 à 17 heures, sur la place du Vigan et sur les allées du Jardin national. Cette année, le thème de cette manifestation - qu'inaugurera la préfète du Tarn Marcelle Pierrot à 10h30 - est la sécurité, une responsabilité partagée». Cette journée sera l'occasion de présenter au public les missions, les métiers et les moyens du ministère de l'Intérieur, de l'Outre-Mer et des Collectivités territoriales, dans le domaine de la sécurité. Les partenaires de la sécurité civile seront également associés à la manifestation. Pour illustrer l'unité et la complémentarité des actions menées par les services intervenant dans le domaine de la sécurité publique et civile, des animations et des ateliers seront proposés par les services de police, de gendarmerie et les différents acteurs de la sécurité civile dans le département SDIS, associations de secourisme. Nous détaillons le programme ci-dessous.
Journéeinternationale de la sécurité sanitaire des aliments (7 juin). Vous pouvez partager vos idées et sensibiliser d'autres personnes à la préservation de la sécurité sanitaire de leurs aliments. La sécurité sanitaire des aliments est l’affaire de tous à la maison Certains droits réservés. Ce travail est disponible
Accueil / A la une / Saint-Genis des Fontaines la sécurité est l’affaire de tous Frédéric Régnier, responsable de la police municipale ; Nathalie Regond-Planas, maire de Saint-Genis des Fontaines et le major Walter Lens, commandant de la brigade de Gendarmerie nationale de Saint-Genis des Fontaines / 4 octobre 2021 A la une, Territoires Samedi 2 octobre, plus d’une trentaine de Saint-Genisiens, dont de nombreux délégués de quartier et élus, ont répondu présent à l’invitation lancée par Nathalie Regond-Planas, maire de Saint-Genis des Fontaines, et l’équipe municipale, pour une réunion de présentation du dispositif de Participation citoyenne. Le major Walter Lens, commandant de la brigade de Gendarmerie nationale de Saint-Genis des Fontaines, était aux manettes de cette séance, avec l’appui de Frédéric Régnier, responsable de la police municipale. Tous deux représentent autant de corps qui travaillent au quotidien en étroite collaboration pour assurer la sécurité de tous. Walter Lens a rappelé que le dispositif de participation citoyenne est une démarche de sécurité globale et solidaire. Celle-ci implique la commune, l’Etat et les forces de sécurité, à savoir la Gendarmerie nationale. Elle consiste à sensibiliser les habitants en les associant à la protection de leur environnement. » Pour cela, les Saint-Genisiens doivent adopter une attitude vigilante, prendre le réflexe d’informer les forces de l’ordre en cas de doute ou d’un constat de comportement suspicieux. Mais attention, il est hors de question pour eux de se substituer à l’action de la gendarmerie. Une telle démarche pourrait les mettre dans une situation à risque. Vous devez capter une information, essayer de récupérer un maximum de détails et ensuite appeler le 17. La gendarmerie s’accaparera alors du dossier » précise Walter Lens à l’auditoire avant de détailler quelques comportements ou réflexes à adopter par les référents pour qu’ils optimisent leur travail. Dans le cadre de ce dispositif, la Gendarmerie nationale compte s’appuyer sur les délégués de quartier qui ont été installés il y a quelques mois par la municipalité actuelle. Mais toute bonne volonté est la bienvenue. En effet, plus le maillage de référents et d’habitants, qui sont les yeux et les oreilles de leur quartier, sera dense, plus le système sera efficace. Enfin, cet engagement renforcera les solidarités de voisinage en créant ou recréant du lien social. Il renversera ainsi le sentiment d’insécurité en rassurant les citoyens et dissuadant les délinquants potentiels. » Toute personne souhaitant obtenir plus d’informations ou intégrer le dispositif de Participation citoyenne peut se rapprocher de la police municipale au 06 07 25 76 04.
Lasécurité, c'est l'affaire de tous - Episode 43 Le Bouc. NEWZY. 1:15. La sécurité en Rallye, c'est l'affaire de tous! CORSICA linea - Tour de Corse. 0:59. Bruno Lemaire réagit pour la première fois à l'affaire Carlos Ghosn, "C'est une affaire que je suis tous les jours" - Regardez. 13:59. Sophie Cluzel - "Le handicap ce n'est
Temps de lecture 10 minutesLa sécurité concerne chacun et chacune d’entre nous. C’est un fait. Quand on pense à la navigation sur l’Internet, il peut paraître évident que naviguer “safe” dépend surtout de la façon dont nous utilisons les outils mis à notre disposition et les bonnes pratiques sécurité informatique que nous nous choisissons de mettre en oeuvre – bien plus que du rêve chimérique d’un Internet complètement sécurisé par défaut. Changement de mot de passe régulier, double authentification, protection en continu contre les malwares, mises à jour de sécurité, hygiène numérique et bonnes pratiques la sécurité sur l’Internet demeure un ensemble d’actions qui, à titre personnel, requiert rigueur, lucidité et surtout volonté. Peut-être que vous vous dites “bon, encore un article sur la sécurité écrit par un divin expert du numérique tentant de communiquer avec nous, simples mortels”. Eh bien, spoiler alert absolument pas. Parce que moi, la sécurité, à la base, j’y connais rien ! “Je n’ai rien à cacher” ; “Si c’est gratuit, c’est toi le produit” ; “Il ne faut pas tomber dans la paranoïa” ; “C’est trop technique pour moi” voilà grosso-modo ce qui caractérisait mes échanges lorsque j’abordais la question de la sécurité des données sur Internet. Pas très concluant, je vous l’accorde. Cependant, la sécurité des données est pourtant bel et bien l’affaire de chacun et chacune d’entre nous. Peut-être l’apprendrez-vous à vos dépends – mais rassurez-vous, l’humain est résilient. Me voilà donc, jeune étudiante de la génération Z, questionnant mon rapport à la technologie et notamment à la sécurité sur le net. Chères et chers DSI et RSSI, me voilà bien lotie. L’idée, au fil de ses lignes, sera donc d’essayer humblement de vous partager mon point de vue d’internaute lambda, et de vous partager les bonnes pratiques qui m’ont véritablement aidé. Un voyage inattendu Mon périple débute avec une simple recherche google “la sécurité sur Internet”. Je tombe quasi instantanément sur un très bel article de l’ANSSI présenté comme “les dix règles de base, en quelque sorte les 10 commandements de la sécurité sur l’Internet”. Aussi, cela se résume à Utiliser des mots de passe de qualité ;Avoir un système d’exploitation et des logiciels à jour navigateur, antivirus, bureautique, pare-feu personnel, etc. ;Effectuer des sauvegardes régulières ; Désactiver par défaut les composants ActiveX et JavaScript ; Ne pas cliquer trop vite sur des liens ; Ne jamais utiliser un compte administrateur pour naviguer ; Contrôler la diffusion d’informations personnelles ;Ne jamais relayer des canulars ; Etre prudent Internet est une rue peuplée d’inconnus ;Etre vigilant avant d’ouvrir des pièces jointes à un courriel elles colportent souvent des codes malveillants. Ces recommandations – bien que génériques – me paraissent essentielles. En effet, si certaines de ces mesures me paraissent hors de portée, j’estime toutefois que la plupart, ainsi que leurs enjeux, sont accessibles et peuvent être mises en place par une grande majorité d’entre nous. Il est vrai que si nous sommes lucides, il est très rare de pouvoir se targuer d’une confidentialité sans faille et d’une sécurité irréprochable sur Internet. Le mythe, encore bien vivant, du “risque 0” doit être déconstruit – au-delà de la difficulté de mise en œuvre de tous ces processus, tendre vers le minimum de failles et le maximum de vigilance semble plus raisonnable. La vulnérabilité dans Apache Log4j est là pour nous le rappeler. L’ANSSI, en ce sens, fournit un catalogue assez exhaustif des bonnes pratiques de sécurité numérique afin d’accompagner les entreprises et les administrations dans la mise en œuvre de ces mesures de sécurité. Au-delà, chacun y va de son propre chef. En bref, entre guide pratique et leçon de morale – la ligne est fragile. Démocratiser les bonnes pratiques numériques En effet, la cybersécurité n’est pas que l’affaire des techniciens. L’avènement de l’Internet, des réseaux sociaux et du numérique dans son spectre le plus large, consacre la réalisation de nouveaux enjeux et notamment d’un nouveau domaine crucial la cybersécurité. Selon Le Robert, la cybersécurité désigne l' »ensemble des moyens utilisés pour assurer la sécurité des systèmes et des données informatiques d’un État, d’une entreprise, etc.”. La cybersécurité recouvre l’ensemble des moyens et des mesures concourant à assurer l’échange et le stockage de l’information de manière sécurisée. Aussi, pour faire simple, la cybersécurité concerne donc aussi bien les éléments de stockage de l’information cloud, disques durs, clefs usb, etc. que les émetteurs », les récepteurs » ordinateurs et téléphones et les réseaux permettant d’établir un lien entre ces derniers tels que le Wifi et le Bluetooth. Toutefois, s’il est vrai que le numérique fait partie intégrante de notre quotidien, ses bonnes pratiques ne sont pourtant pas, elles, si évidentes. Malgré une réelle volonté de la part des acteurs du numérique de sensibiliser et mettre à disposition des guides et bonnes pratiques, ce n’est pas chose aisée d’accompagner l’utilisateur pour ce long et sinueux voyage dans la sécurité informatique. Il me semble donc essentiel de rappeler la nécessité de démocratiser les bonnes pratiques dans l’univers numérique qui ont des conséquences bien tangibles et palpables dans le “réel” de nos quotidiens. Trop souvent, j’entends le cyberespace être décrit comme immatériel, aux conséquences lointaines pour nos quotidiens. Mais alors, que faire ? Jusqu’à preuve du contraire, vous fermez votre porte à clé quand vous partez de chez vous ? Au même titre que votre voiture, ou peu importe – choisissez l’exemple le plus pertinent à votre sens. Parfois, vous vous protégez avec des services spécifiques de surveillance, vous êtes vigilants et prudents. Pour la sécurité informatique, c’est la même chose ou presque votre ordinateur, téléphone ou autre appareil électronique n’y font pas exception. Ce sont des appareils qui contiennent un grand nombre de données personnelles qui, entre de mauvaises mains, peuvent avoir des conséquences avec plus ou moins de gravité. Alors comment s’en prémunir ? Kit de survie Concrètement, voilà ce que j’ai retenu Astuce n°1 – Dis-moi qui tu es et je te dirai ton mot de passe On ne vous le répétera jamais assez mais… un mot de passe comportant votre date de naissance avec le prénom de votre animal de compagnie n’est jamais vraiment une bonne idée. Ainsi, je vous recommande d’utiliser – dans la mesure du possible – un gestionnaire de mot de passe cf. cet article du Monde afin de pouvoir utiliser des mots de passe plus robustes et diversifiés. En effet, il est humainement impossible de retenir les dizaines de mots de passe longs et complexes que chacun est amené à utiliser quotidiennement bon, je ne demanderai pas à Dominic O’Brien, “l’homme avec la meilleure mémoire du monde”, mais admettons. Entre avoir un mot de passe unique ou une multitude de complexes – la solution qui me semble la plus adaptée semble être le gestionnaire de mot de passe. Un mot de passe pour en gérer une multitude – et ce n’est pas si complexe que ça en a l’air. Songez-y la prochaine fois que vous allez créer un compte. Recommandation KeePass, un gestionnaire de mots de passe sécurisé et gratuit C’est un logiciel libre, en français, certifié par l’ANSSI permettant de stocker en sécurité vos mots de passe pour les utiliser dans vos applications. KeePass dispose aussi d’une fonction permettant de générer des mots de passe complexes aléatoires. Astuce n°2 – Procrastination out Faites vos mises à jour. Oui, je sais… fermer l’onglet mises à jour est radicalement plus simple que de tenter la mise à jour entre deux réunions et d’oublier de la lancer la nuit. Je sais. Toutefois, si chaque application et logiciel vous propose régulièrement des mises à jour, il y a une raison derrière. La plupart des alertes pointent vers des correctifs à des failles de sécurité ou des améliorations qui vont renforcer leur imperméabilité. Ils sont essentiels. En repoussant le moment fatidique, vous risqueriez de faire de vos applications des points d’entrée faciles dans votre système et ainsi, de vous exposer plus facilement aux vilains méchants de l’autre côté de votre ordinateur. Le dernier exemple en date qui me vient en tête est une faille de sécurité zero-day » sur Google Chrome. Le chiffre d’utilisateurs potentiellement touchés concernerait plus de 3 milliards dans le monde et permettrait à des attaquants malveillants d’utiliser cette faille pour injecter à distance un code arbitraire et déployer un logiciel malveillant sur l’ordinateur. Alors, voici comment se prémunir d’une mauvaise surprise – surtout dans ces temps incertains dans le cyberespace les mises à jour du navigateur sur Windows, Mac ou Linux sont normalement automatiques au lancement. Mais un passage par les paramètres permet de lever le doute il faut cliquer sur les trois petits points en haut à droite puis “paramètres” et vérifier la version utilisée sur “À propos de Chrome”. Recommandation le site cyber malveillance du gouvernement sur “pourquoi et comment bien gérer ses mises à jour”. Astuce n°3 – WiFi or not to be ? Je l’avoue, c’est très tentant de se connecter au WiFi du coin pour économiser ses datas. Toutefois, je ne saurai que trop vous recommander de ne pas vous connecter sur les WiFi publics non sécurisés. C’est une véritable porte ouverte pour quiconque souhaite pirater vos données. Dans l’idéal, désactiver le WiFi sur votre téléphone, votre PC ou tablette lorsque vous avez terminé – cela évitera une potentielle faille. Petit tips pour identifier si un réseau est safe, ou pas Si le réseau dispose d’un portail captif qui vous force à vous identifier, alors vous pouvez être rassuré c’est généralement ce que l’on trouve dans les hôtels ou certains lieux publics ; Toutefois, si le Wi-Fi public ne vous demande aucun code et qu’il n’est pas protégé par un portail captif, cela veut dire que n’importe qui peut s’y connecter…et là on peut trouver n’importe qui sur le réseau, y compris des personnes mal intentionnées. Bien sûr, “réseau sécurisé” ne rime pas avec “exempt de danger”. Bon, si. Mais on ne le répétera sûrement jamais assez le risque 0 n’existe pas. Une des solutions utiliser un VPN Virtual Private Network ! Ce dernier vous protégera et permettra d’anonymiser davantage votre connexion. À ce titre, il existe des services VPN gratuits et payants disponibles en abondance sur le net – à vous de faire votre marché. Astuce n°4 – Les données personnelles le nerf de la guerre Pour aller plus loin, et sortir de sa zone de confort, j’aimerai conclure sur un point les données à caractères personnelles sont le nerf de la guerre. Ce sont elles qui, corrompues perte d’intégrité, volées confidentialité, divulguées ou encore perdues traçabilité constituent une réelle menace. Car, en effet, si les impacts sont informatiques et principalement techniques, les répercussions peuvent être sociales et juridiques. En principe, le traitement des données personnelles est strictement interdit par la loi. Elles sont protégées par divers instruments juridiques comme la loi informatique, fichier et liberté de 1978 ou, plus récemment, par le Règlement Général sur la Protection des Données RGPD voté et adopté en 2016 par le parlement européen. En France, l’organe qui se charge du contrôle de la protection des données personnelles est la CNIL. C’est indéniable donc, les données ont de la valeur. Pour preuve, des business model entiers reposent sur la donnée. Aussi, il me semble important de tenter de s’émanciper au maximum des techniciens et de s’approprier sa propre sécurité ainsi que ses enjeux. En ce sens, l’ANSSI préconise la méthode de sauvegarde des données 3-2-1. Concrètement, l’ANSSI préconise de disposer pour vos données sensibles de Trois copies de vos données en plus de vos données principales, vous devez aussi avoir au moins deux autres sauvegardes ; Deux supports différents c’est-à-dire au moins deux types de stockage différents tels que des disques durs internes et des supports amovibles et ; Une copie “hors site” vos données peuvent être stockées dans le cloud ou sur un disque dur. Et pour aller plus loin Bon, à priori, si vous vous appropriez ces quatres étapes, c’est un très bon début. En effet, pour permettre de réduire les risques dans le cyberespace, ces quatre mesures constituent un premier pas vers une meilleure hygiène numérique au global. La première étape, la plus cruciale, est d’avoir conscience des enjeux et de les intégrer au sein de sa propre image de la sécurité informatique. Parce que oui, pour être en sécurité dans le cyberespace, il ne s’agit en rien d’être un expert dans le domaine, d’avoir fait des années d’étude et encore moins de devoir dépenser de l’argent. C’est à la portée de toutes et tous et cela n’impacte que très marginalement votre quotidien. Quoi qu’il en soit, voici une liste non exhaustive de ressources essentielles pour accompagner votre voyage dans ce fabuleux domaine de la cybersécurité Le site de la CNIL, la Commission nationale de l’informatique et des libertés pour les professionnels, pour les particuliers ; Le site de l’ANSSI, l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information. Très complet et instructif, je recommande fortement !Son guide des bonnes pratiquesLe site du gouvernement français CyberMalveillance ;Le Clusif, une association qui échange sur les domaines de la sécurité du numérique en France. Sinon, Wimi a fait un très bon article sur les 8 sites à suivre dans le domaine de la cybersécurité.
\n \n\n\n \n la sécurité est l affaire de tous
LaSST, c’est l’affaire de tous !? Ce guide vise à soutenir les milieux de travail pour la prise en charge de la santé et la sécurité du travail (SST) dans leur milieu de travail. Les mesures proposées doivent être adaptées par les différents secteurs à leurs spécificités pour garantir que les activités puissent reprendre ou continuer dans les conditions les plus sûres et les
20 mai 2022 Rapport technique Télécharger 223,3 kB Vue d’ensemble Ce bref document souligne l’importance de la sécurité sanitaire des aliments, ses avantages, et les solutions permettant d’améliorer la sécurité sanitaire des aliments dans les établissements scolaires et les crèches. Il fait partie d’une série de brochures produites par la FAO et l’OMS en vue de promouvoir la sécurité sanitaire des aliments, notamment dans le cadre de la Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments. La sécurité sanitaire des aliments est l’affaire de tous à la maisonLa sécurité sanitaire des aliments est l’affaire de tous sur le lieu de travailLa sécurité sanitaire des aliments est l’affaire de tous sur les marchés alimentaires traditionnelsLa sécurité sanitaire des aliments est l’affaire de tous dans la vente d'aliments sur la voie publiqueOther available languages العربية中文Русский Équipe OMS Multisectoral Action in Food Systems, Nutrition et sécurité sanitaire des aliments Éditeurs Organisation mondiale de la Santé & Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture Numéro de pages 2 Numéro de référence Numéro de reference de l’OMS WHO/HEP/NFS/AFS/ Copyright
EricBoucourt, sous-préfet de Montceau, Le Creusot et Autun. Eric Boucourt, sous-préfet d’Autun, Le Creusot et Montceau : « La sécurité c’est l’affaire de tous. Ce dispositif, qui a été développé dans un premier temps en zone rurale, permet de créer un lien privilégié entre les autorités et vous-mêmes. Ca veut dire observer
SÉCURITÉ - Un accident du travail coûte cher en amitiés, en compétences, en énergie, en argent... Bien sûr, l’employeur doit assurer la sécurité des salariés. En réalité, la sécurité est l’affaire de tous chacun est responsable de sa sécurité et de celle des autres. Détaillons. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Sed bibendum, sapien nec interdum commodo, ex elit feugiat velit, vel tincidunt nibh massa nec turpis. Phasellus rutrum pulvinar tristique. Aenean vel maximus velit. Integer in purus dictum, commodo diam sed, facilisis metus. Duis sed consequat nisi. Phasellus et risus neque. Curabitur mattis, nibh ac finibus bibendum, nulla augue commodo ipsum, vitae tristique urna felis in velit. Cras et eleifend lorem, in convallis leo. Fusce id nibh et leo congue convallis. Vivamus imperdiet ipsum sit amet felis condimentum, a lobortis felis rutrum. Integer ullamcorper, turpis in aliquet tincidunt, est tellus volutpat leo, id pretium massa nibh sed orci. Pellentesque ac viverra lacus. Class aptent taciti sociosqu ad litora torquent per conubia nostra, per inceptos himenaeos. Ut ut ante eget nulla volutpat tempor. Donec commodo leo mi, congue blandit leo euismod ut.
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