Il y a cinq ans, l’Étoile Rouge vendait pour 15 millions d’euros plusieurs joueurs formés au club. Nés pour la plupart en 1996, certains étaient considérés comme des cracks ». Où en sont-ils maintenant ? On vous donne de leurs nouvelles. Luka Jovic On commence par LA star. Bien qu’il ne soit pas né en 1996 comme la plupart de ses camarades, mais en 1997. Plus jeune buteur de Zvezda à 16 ans, cinq mois et cinq jours, il est parti à Benfica alors âgé de 18 ans, contre un peu plus de deux millions d’euros. Prêté à L’Eintracht Francfort pour retrouver du temps de jeu, il explose aux yeux du monde entier. Ses 27 buts et sept passes décisives en 48 matchs lors de la saison 2018/2019 ont convaincu le Real Madrid à dépenser 63 millions d’euros pour le recruter. Mais la concurrence, une gestion discutable de Zinedine Zidane, et des affaires extra-sportives font de son séjour à Madrid un semblant de cauchemar. Il retourne à Francfort jusqu’à la fin de la saison 2021, pour retrouver la forme et son panache. Il a déjà marqué trois buts en six matchs. Parti pour mieux revenir ? Mihailo Ristic Après 91 matchs disputés avec son club de cœur, il rejoint Krasnodar contre deux millions d’euros. Mais une blessure va freiner sa progression, et sera ensuite prêté au Sparta Prague. En perdition dans le club Tchèque, où il ne dispute que quatre matchs en un an, il retourne en Russie à l’issue de son prêt. Il sera recruté à la plus grande surprise par Montpellier quelques jours plus tard, en janvier 2019. Malgré une saison sur le banc, celle de l’adaptation, il est progressivement monté en puissance jusqu’à devenir un cadre dans le couloir gauche de l’équipe. Marko Grujic Si vous voulez un exemple parfait d’une mauvaise gestion d’un joueur, Marko Grujic est un bon cas. Liverpool l’a acheté en 2016 contre sept millions d’euros. Depuis, il a été prêté à Cardiff, au Herta Berlin, et est actuellement à Porto où il dispute des bouts de matchs. Il n’a disputé que 16 rencontres officielles avec les Reds. Le talent est là, mais pas la stabilité, ce qui l’empêche de facto d’exploser. Vukasin Jovanovic Parti au Zenit en 2016 pour deux millions d’euros, il a été prêté un an plus tard à Bordeaux, où ses prestations ont convaincu les dirigeants à acheter son contrat. Mais depuis, le manque de stabilité au club, les changements d’entraineurs et ses mauvaises copies, l’ont progressivement relégué sur la banc. C’est simple, il a disputé 0 minute cette saison, et son contrat qui se termine en juin ne sera pas prolongé. À lui maintenant de choisir le bon club pour se relancer. Filip Manojlovic On arrive maintenant aux joueurs qu’on a perdu de vue ou presque. Présenté comme le nouveau Predrag Rajkovic », Filip Manojlovic a rejoint Getafe en 2017 contre 1,25 million d’euros. Hélas, son aventure en Espagne ne se passe pas du tout comme prévu. Il n’a jamais joué la moindre rencontre avec Getafe, qui l’a prêté sans grand succès en Grèce au Panionios 11 matchs joués. Il est actuellement en troisième division espagnole, à l’UD San Sebastian de los Reyes, avec toujours zéro rencontre au compteur. Milos Stojanovic Grand espoir de cette génération, le défenseur central évolue actuellement au FK Bylis Ballsh, avant-dernier du championnat albanais, où il est titulaire indiscutable. Avant cela, il est passé par de nombreux clubs serbes dont Vozdovac qui l’a récupéré en janvier 2018, mais la marche était trop haute pour lui. De gauche à droite Luka Jovic, Milos Stojanovic, Marko Grujic MN Press Dusan Zivkovic Réputé jadis pour sa technique, le milieu offensif ne s’est jamais imposé avec l’équipe première de l’Étoile Rouge. Il passe brièvement au Spartak Subotica et au Radnicki Nis. Après presque trois ans et 59 matchs avec le Rad Belgrade, il rejoint cet hiver le Monténégro, plus précisément le FK Iskra Danilovgrad. Navigation de l’article
Thérèsenom complet : Teresa Sánchez de Cepeda Avila Y Ahumada naît à Avila 85 km à nord-ouest de Madrid, le 28 mars 1515, de parents nobles et Chrétiens. Dès l'âge le plus tendre, un fait révéla ce qu'elle devait être un jour. Parmi ses frères, il y en avait un qu'elle aimait plus que les autres ; ils se réunissaient pour lire ensemble la vie des saints : Devenu mince, l'acteur de TF1 a évoqué sans détour la façon dont il est tombé dans l'obésité morbide. Grâce à une sleeve gastrectomie – opération consistant à retirer 75% à 80% de l'estomac –, Laurent Ournac a perdu pas moins de 60 kilos. Fier de sa métamorphose, le comédien et animateur, qui participait en octobre dernier à une conférence sur l'obésité au CHU du Kremlin-Bicêtre pour l'association Les Poids Plumes, est revenu sur son passé d'homme en surpoids après la diffusion sur France 5 du documentaire Malbouffe sans frontières. L'homme de 35 ans s'est confié à Marina Carrère d'Encausse "À la naissance, j'étais plutôt une petit crevette et puis, très vite, j'ai eu quelques kilos en trop. À l'adolescence, ces quelques kilos sont devenus de bonnes dizaines de kilos. Et c'est vraiment lorsque je suis devenu un jeune adulte et que je me suis installé seul que la courbe de poids a explosé." Je me suis tourné beaucoup vers le sucré, par goût et par plaisir La star de TF1, qui sortira le 6 avril prochain son autobiographie Celui que je rêvais d'être Flammarion, explique ensuite les raisons de cette prise de poids, entre repas de famille copieux et mauvaises habitudes alimentaires. "Dans l'enfance – on ne parlait pas encore de malbouffe –, il y avait déjà des nuggets et des cordons bleus. ... À l'adolescence, je me suis tourné beaucoup vers le sucré, par goût et par plaisir. Parce que c'est facile quand on sort se balader à la sortie des cours avec les copains. On va à la boulangerie acheter un paquet de bonbons, à l'épicerie acheter un paquet de gâteaux. Au début, je partageais le paquet de gâteau avec des amis et après je ne le partageais plus et je le mangeais seul", confie-t-il sans détour. Puis est arrivé l'âge adulte où maman et papa n'ont plus là été là pour lui cuisiner des petits plats. Une époque qui a sans nul doute était celle à laquelle Laurent Ournac s'est le plus laissé aller "J'ai fait vivre tous les kebabs de mon quartier pendant quelque temps, les fastfood aussi, évidemment. Puis il y avait les livraisons de pizzas... ... Je voyais bien que je payais tous les abus que je faisais." De mauvaises habitudes prise par "manque de temps et de connaissance" qui, il le reconnaît, était addictive. "Ça ressemble a du gavage", conclut le comédien de Camping Paradis. Mais tout ça, c'est désormais du passé pour Laurent Ournac. Devenu mince, l'ancien obèse est à présent en pleine santé.Découvrezles meilleures dissertations sur des sujets académiques uniques et pertinents, notes de recherche, mémoires, rapports de stage et plus dans notre liste ici. Archives du BAC. Arts, Loisirs et Sports. Biographies.
LA SEMAINE PASSÃ?E, ellea donné l'image d'une rebelle, aussi douée pour l'insolence que pour faire couler les larmesde ses voisines de chambrée. Charlotte aurait-elle décroché le prix de la petite peste du ÂPensionnat de Chavagnes » dont le troisième volet est diffusé ce soir à 20 h 50 sur M 6, oude la meilleure comédienne ?  Mes propos étaient provocants mais je n'ai pas voulu me démarquerni jouer un rôle, jure l'adolescente de 16 ans qui vient d'entrer en 3eà LimogesHaute-Vienne. L'an passé, mes parents m'ont inscrite dans un collège privé strict et je mesuis bien comportée. AuPensionnat, je me suis défoulée. Quand on met le bazar, on n'a plusde limites. » Charlotte reconnaÃt d'ailleurs avoir exagéré en insultant la surveillante et enavouant prendre plaisir à faire pleurer les autres filles.  En refusant de me donner mon courrier,le seul lien avec l'extérieur, la surveillante n'a pas respecté sa parole. J'en ai rajouté carje voulais être seule et les caméras me collaient. Je ne suis pas méchante mais je déteste leshypocrites. »ÂJe voyais ça comme une colo»Plus posée loin des objectifs,l'adolescente parle volontiers de ce respect  qui s'efface aujourd'hui alors que les leçonsde morale d'avant le rappelaient sans cesse ». Fière d'avoir obtenu 16 de moyenne l'an dernier,elle évoque aussi l'éducation qu'elle reçoit, avec sa petite soeur, de sa mère secrétaire etde son père maÃtre nageur  Mes parents sont autoritaires et je les écoute car je marche à l'affectif. Comme avec les profs plus ils sont gentils, plus je les aime. Si on me crie dessus,je sors de mes gonds. » Voilà qui expliquerait ses humeurs sur le tournage.  Je n'étais pasvenue dans ce jeu pour travailler mais pour faire des rencontres et apprendre des choses surles années 1950. Je voyais ça comme une colo. Or, là -bas, l'austérité des lieux, gris et morbides,donnait envie de fuir. Le pire, c'était la discipline. On était comme des robots. Ã?a s'est malpassé avec M. NavaronNDLR le surgécar il nous parlait comme si on était de grosses m...Il était pire hors caméras. Il ne jouait pas. Ou alors, c'est un bon comédien ! »En revanche,Charlotte garde de bons souvenirs des escapades nocturnes -  on faisait les 400 coups pourdécompresser » - et des cours.  On les prenait à la rigolade à cause de la tenue des ils nous ont fait aimer leur matière. Je comprends mieux les maths et je viens d'avoir8/10 à un exercice sur les fractions que nous avions étudiées à Chavagnes. Et maintenant, jepeux parler des années 1950 avec ma grand-mère. » Mais ne lui demandez pas de s'étendre sursa relation avec Romain -  avec qui je suis restée en contact », consent-elle - ou sur le déroulementdes épisodes.  J'aimerais quele Pensionnatsorte de ma tête car j'en ai marre de raconterles mêmes choses », conclut-elle... incorrigible.Nricbd.