Avec« ThĂ©o et Hugo dans le mĂȘme bateau« , ce sera chose faite. Et ce film sera le plus osĂ© du duo notamment grĂące, ou Ă  cause, de son ouverture fascinante, hypnotique et trĂšs trĂšs chaude ! Paris, un peu plus de trois heures du matin, ThĂ©o est Ă  l’Impact, une backroom prĂšs de ChatĂȘlet. LĂ , au milieu des corps qui s’embrassent, ThĂ©o n’a d’yeux que pour Hugo. Quand il Synopsis Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour 11Production et distribution 4Box Office cumulĂ©Box Office chronologieSorties Ă  l'international 6PaysDistributeurAcheteurDate de sortieTitre localDĂ©solĂ©, aucun rĂ©sultat ne correspond Ă  votre 11GĂ©nĂ©rique dĂ©taillĂ© 15Mentions techniquesLong-mĂ©trageSous-genres Drame, RomanceLangue de tournage FrançaisAutre pays coproducteur FranceNationalitĂ© 100% français FranceAnnĂ©e de production 2016Sortie en France 27/04/2016Etat d'avancement SortiType de couleurs Couleur
\n\n\n theo et hugo dans le meme bateau
Interviewwith Olivier Ducastel, Jacques Martineau, Geoffrey Couet and François Nambot about their film "ThĂ©o et Hugo dans le mĂȘme bateau":ThĂ©o and Hugo enco Culture Les rĂ©alisateurs Jacques Martineau e tOlivier Ducastel Ă  Paris, le 9 fĂ©vrier 2010 © AFP/Archives/FRANCOIS GUILLOT RĂ©compensĂ© par le Teddy Award du public Ă  la derniĂšre Berlinale, "ThĂ©o et Hugo dans le mĂȘme bateau", en salles mercredi, met en scĂšne de façon inĂ©dite et sensible une romance homosexuelle confrontĂ©e Ă  la menace du sida. Ce film, huitiĂšme long mĂ©trage des cinĂ©astes français Olivier Ducastel et Jacques Martineau, donne l'illusion d'avoir Ă©tĂ© tournĂ© en temps rĂ©el, rappelant l'esprit et le souffle de la Nouvelle vague. Il dĂ©bute par une longue scĂšne de sexe non simulĂ© dans la "backroom" d'un sexclub de Paris, ce qui lui a valu une interdiction aux moins de 16 ans. La Commission de classification a toutefois estimĂ© que "ThĂ©o et Hugo dans un mĂȘme bateau" ne mĂ©ritait pas une interdiction totale aux mineurs, sans attendre le nouveau texte rĂ©glementaire promis par la nouvelle ministre de la Culture. Fin fĂ©vrier, Audrey Azoulay a annoncĂ© son intention de modifier les critĂšres sur lesquels repose l'interdiction des films aux moins de 18 ans, afin de "conforter" les avis de la commission de classification et de limiter les recours en justice. Une dĂ©cision qui fait suite aux victoires judiciaires d'une association proche des milieux catholiques traditionalistes contre plusieurs films dont "La Vie d'AdĂšle" d'Abdellatif Kechiche ou "Love" de Gaspar NoĂ©. La ministre s'appuie sur les propositions contenues dans un rapport du Centre national du cinĂ©ma CNC qui prĂ©conise d'abandonner l'interdiction "automatique" d'un film aux mineurs lorsque celui-ci "comporte des scĂšnes de sexe non simulĂ©es ou de trĂšs grande violence". - L'Ă©motion indicible du coup de foudre - Couple Ă  la ville comme Ă  la scĂšne, Olivier Ducastel et Jacques Martineau, duo de cinĂ©astes rĂ©vĂ©lĂ© par "Jeanne et le garçon formidable" 1998 et "DrĂŽle de FĂ©lix" 2000, cĂ©lĂšbrent dans ce nouveau film la naissance d'un amour entre deux garçons, insistant pour la premiĂšre fois sur l'Ă©motion indicible du coup de foudre et du dĂ©sir sexuel qui peut faire oublier la prĂ©vention du sida. Abordant leur sujet de façon presque documentaire Ă  certains moments, les rĂ©alisateurs signent une rĂ©elle et Ă©mouvante histoire d'amour, oĂč les sentiments plus forts que tout rĂ©sistent Ă  l'adversitĂ©. AprĂšs une rencontre dans l'anonymat des corps et une Ă©treinte passionnĂ©e, ThĂ©o et Hugo, magistralement interprĂ©tĂ©s par Geoffrey CouĂ«t, vu dans le Saint-Laurent de Bertrand Bonello, et la rĂ©vĂ©lation François Nambot, se dĂ©grisent en pleine nuit dans les rues de Paris. A l'aune de leur amour naissant mais aussi de la menace qui pĂšsent sur eux, du fait de leur imprudence. "Nous savions dĂšs que nous avons lancĂ© l'Ă©criture, qu'il nous faudrait rester dans ce que nous appelons la catĂ©gorie des films pirates, totalement en dehors des circuits de financement habituels du cinĂ©ma français. Cela nous a offert une grande libertĂ©", explique Olivier Ducastel. "Cela ne valait pas la peine de se mettre en marge si c'Ă©tait pour produire Ă  la fin des images Ă©dulcorĂ©es. Nous voulions vĂ©rifier qu'il Ă©tait possible de filmer la sexualitĂ© en s'Ă©cartant Ă  la fois des interdits moraux et de la grammaire classique des films pornographiques", ajoute-t-il. Pour la premiĂšre fois, la prophylaxie prĂ©-exposition PrEP, nouvelle stratĂ©gie de prĂ©vention du VIH Ă  mettre en place 48 heures aprĂšs un rapport sexuel Ă  risque, est Ă©galement abordĂ©e au cinĂ©ma de façon explicite et pĂ©dagogique. 22/04/2016 113523 - Paris AFP - © 2016 AFP Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimitĂ© Vous lisez actuellement "ThĂ©o et Hugo dans le mĂȘme bateau" une "love story" gay face Ă  la menace du sida ThĂ©o& Hugo dans le mĂȘme bateau. Extrait 1 [fr st en] de Olivier Ducastel, Jacques Martineau. Suivez-nous sur. vidĂ©o suivante. mp4 (1920x1080) 0:56 Copiez et collez le code dans votre html pour intĂ©grer cette vidĂ©o, assurez-vous de bien crĂ©diter Cineuropa : Lire aussi. ThĂ©o & Hugo dans le mĂȘme bateau [FR] (2016): fiche film, bande-annonce lire aussi . ThĂ©o & Hugo
ThĂ©o et Hugo dans le mĂȘme bateau Drame 2015 1 h 37 min Tubi TV ThĂ©o et Hugo se rencontrent dans un sex-club. Leurs corps se mĂȘlent dans une Ă©treinte passionnĂ©e. AprĂšs l'ĂąpretĂ© du dĂ©sir et l'excitation du premier instant, les deux jeunes gens ont dĂ©grisĂ©. Ils errent ensuite ensemble dans les rues vides du Paris nocturne et sont confrontĂ©s Ă  leur amour naissant. Drame 2015 1 h 37 min Tubi TV 18A En vedette Geoffrey CouĂ«t, François Nambot, Mario Fanfani RĂ©alisateur Olivier Ducastel, Jacques Martineau Similaires Distribution et Ă©quipe technique
Ilest beau, le lancement du bateau de ThĂ©o et Hugo. C’est un de ces vaisseaux nocturnes et parisiens, illuminĂ© de rouge, dans la cale duquel des hommes se retrouvent pour faire l’amour

Le nouveau film de Jacques Martineau et Olivier Ducastel, ThĂ©o & Hugo sans dans le mĂȘme bateau, se dĂ©voile Ă  travers une premiĂšre bande-annonce sulfureuse. Le film, prĂ©sentĂ© Ă  la Berlinale 2016, sortira le 27 avril dans les salles. amour passionnel entre deux hommes Ă  Paris Olivier Ducastel et Jacques Martineau, s'apprĂȘtent Ă  sortir leur nouveau long-mĂ©trage, ThĂ©o & Hugo sont dans le mĂȘme bateau. Cette fois, le tandem raconte l'histoire de ThĂ©o & Hugo, deux jeunes hommes qui se rencontrent dans un sex-club et qui vont dĂ©ambuler dans les rues nocturnes de Paris, se laissant aller Ă  leur dĂ©sir et leur amour naissant. Le film a Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ© au Festival de Film de Berlin 2016 dans la section Panorama. Les deux jeunes comĂ©diens Geoffrey Couet et François Nambot se glissent dans la peau de ThĂ©o & Hugo. Sortie prĂ©vue le 27 avril 2016. Source allocinĂ©

OnapprĂ©cie aussi le fait que le temps de l’intrigue de ThĂ©o et Hugo dans le mĂȘme bateau corresponde exactement Ă  la durĂ©e du film. ThĂ©o & Hugo dans le mĂȘme bateau - Sortie le 27 Avril 2016 RĂ©alisĂ© par Olivier Ducastel et Jacques Martineau Avec Geoffrey CouĂ«t et François Nambot. Fil actus . 24 mai 2022. Les festivals qui vont rythmer notre mois de juin.
Ballet des corpsDerriĂšre un titre affichant des faux airs de comptine, le nouveau film d’Olivier Ducastel et Jacques Martineau s’exhibe pourtant d’entrĂ©e de jeu dans une cruditĂ© la plus totale, par une sĂ©quence d’ouverture Ă  la fois dĂ©stabilisante et envoĂ»tante. Dans un sex-club, les corps de ThĂ©o et Hugo se remarquent, se dĂ©sirent, se tournent autour et finissent par cĂ©der Ă  une pulsion de l’instant, fiĂ©vreuse et intense. Cette longue scĂšne de sexe, d’une durĂ©e de vingt minutes, introduit le spectateur au cƓur d’une ambivalence qui exprime d’emblĂ©e certains enjeux du film, Ă  la fois esthĂ©tiques et narratifs. Dans la cruditĂ© de ce qu’elle livre Ă  la perception du spectateur – la pĂ©nombre rougeĂątre des backrooms permettant ici de ne pas tout montrer – cette sĂ©quence de sexe non simulĂ©e parvient Ă  recrĂ©er un espace et une atmosphĂšre d’intimitĂ©, dans un champ filmique baignĂ© pourtant par la nuditĂ© des partenaires. Sur fond d’une musique Ă©lectro entraĂźnante, les corps de ThĂ©o et Hugo inscrivent leur rencontre dans une temporalitĂ© en quelque sorte dĂ©rĂ©glĂ©e, qui s’exprimera pleinement dans un fragment fantasmĂ©, aux allures presque kitsch, digne d’une toile de Pierre et Gilles. Un simple Ă©change de regards entre les deux hommes suffit alors pour suspendre pendant quelques minutes le temps de la narration, et mieux isoler et extirper leurs corps de cette chorĂ©graphie nocturneL’habilitĂ© du film consiste alors Ă  faire de cet apparent dĂ©rĂšglement de la rencontre une vĂ©ritable richesse narrative. Que reste-t-il Ă  dĂ©couvrir de l’autre lorsque l’on vient de cĂ©der au dĂ©sir de l’instant ? Le dĂ©sir amoureux garde-t-il des conditions de possibilitĂ© d’émergence ? Une perspective que semble tout de suite menacer la crainte de la transmission du VIH, car si Hugo fait rapidement l’aveu Ă  ThĂ©o – de maniĂšre dĂ©tournĂ©e – de sa sĂ©ropositivitĂ©, l’immĂ©diatetĂ© du dĂ©sir a dĂ©jĂ  fait baisser la garde des deux hommes. La temporalitĂ© du film semble alors subir elle aussi de plein fouet et par ricochet cet aveu d’Hugo, et fait coĂŻncider le temps rĂ©el avec le temps du rĂ©cit. Alors que la rencontre entre les deux hommes a lieu vers 4h30 du matin, nous les quitterons vers 6h, dans un Paris qui s’éveille au moment du premier utilisation du temps rĂ©el Ă©vite la revendication de l’exercice de style a contrario, par exemple, de Victoria de Sebastian Schipper, autre film noctambule pour mieux Ă©pouser la temporalitĂ© propre aux personnages et leur permettre de jongler entre l’urgence de trouver un traitement de post-exposition au virus, et l’irrĂ©sistible envie de dĂ©couvrir l’autre. Impossible Ă©galement, pendant ces 90 minutes, de ne pas penser Ă  l’angoisse que vit ClĂ©o de 5 Ă  7, dans le film d’AgnĂšs Varda, dans lequel le temps rĂ©el se confondait avec l’attente de la rĂ©ponse mĂ©dicale. Le temps rĂ©el devient ici celui de la dĂ©ambulation de ThĂ©o et Hugo, du quartier de SĂ©bastopol jusqu’à Stalingrad et Anvers, et permet aux rĂ©alisateurs d’explorer un Paris presque vide, marginal, qui laisse un champ filmique aussi vaste que du cadreLa dĂ©ambulation nocturne des personnages se transforme ainsi en une ballade improvisĂ©e, modelĂ©e par les alĂ©as des discussions auxquelles se livrent les deux hommes, entre le dĂ©voilement de soi et des instants, imprĂ©visibles, de rupture et de fermeture Ă  l’autre. Un brin littĂ©raires, les rĂ©pliques du film deviennent les symptĂŽmes de ce jeu de sĂ©duction, et portent en elles les cheminements intĂ©rieurs et spontanĂ©s des deux hommes. C’est comme si nous avions fabriquĂ© de l’amour » fait par exemple remarquer Hugo Ă  la sortie du club. C’est peut-ĂȘtre ce mĂȘme jeu de langage qui impose au film, comme malgrĂ© lui, une filiation avec certains archĂ©types cinĂ©matographiques de la Nouvelle Vague » le cadre filmique devient un espace de crĂ©ation, un cadre mouvant, comme s’il obĂ©issait entiĂšrement Ă  la trajectoire improvisĂ©e des deux hommes. À ce titre, cette nouvelle rĂ©alisation rappelle Ă©galement quelques instants de marche nocturne de Jean et Lara dans Les Nuits fauves, non tant dans le croisement thĂ©matique de la maladie que dans la mise en situation de personnages rĂ©els comme dans le film de Cyril Collard, le mĂ©decin interprĂšte ici son propre rĂŽle. Ou encore lors de cette sĂ©quence matinale de mĂ©tro parisien, durant laquelle les passagers rĂ©els deviennent les figurants d’un cadre filmique qui laisse peut-ĂȘtre esquisser les prĂ©misses d’un rapprochement amoureux. C’est d’ailleurs dans cette ambition que se dessine peut-ĂȘtre la plus belle gĂ©nĂ©rositĂ© du film inscrire les personnages dans un cadre filmique en perpĂ©tuel mouvement, grĂące Ă  des travellings nocturnes, qui deviennent peut-ĂȘtre les tentatives de ThĂ©o et Hugo pour repousser ensemble les limites psychologiques du cadre dans lequel pourrait les enfermer la maladie.

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ThĂ©ohugo dans le mĂȘme bateau & ECCE FILMS prĂ©sente Distribution France Ă©PICENTRE FILMS / Daniel CHAbANNES 55, rue de la Mare 75020 Paris 01 43 49 03 03 / info@epicentreïŹ France karine DURANCE 06 10 75 73 74 durancekarine@yahoo.fr MatĂ©riel presse disponible sur WWW.EPICENTREFILMS.COM. SYNOPSIS Dans un sex-club, les corps de ThĂ©o
Le duo de cinĂ©astes Ducastel et Martineau revient avec un film coup de poing sur la rencontre de deux garçons dans un sex-club parisien, puis sur la naissance de leur amour, filmĂ© en temps rĂ©el. Olivier Ducastel et Jacques Martineau ont enchantĂ© notre paysage cinĂ©matographique, depuis le milieu des annĂ©es 90, en abordant des thĂšmes toujours dĂ©rangeants, en se renouvelant Ă  chaque fois et en explorant des formes trĂšs diverses, de la comĂ©die musicale au film en super 8. Jeanne et le Garçon formidable, CrustacĂ©s et Coquillages, Ma vraie vie Ă  Rouen... pour ne citer que quelques uns de leurs films. Et puis plus rien depuis 2010. Ils sont de retour aujourd’hui sur nos Ă©crans avec ce film fort, emprunt de poĂ©sie, de romantisme, mais ancrĂ© de plein pied dans le rĂ©el. Pas d’acteurs confirmĂ©s pour emmener cette intrigue osĂ©e, mais un casting qui met en lumiĂšre deux jeunes premiers merveilleux, intenses, incroyablement charmants
 des jeunes gens ordinaires mais parĂ©s par les rĂ©alisateurs d’une aura extraordinaire ! François Nambot et Geoffrey Couet portent cette belle aventure sur leurs Ă©paules. Le choix de filmer l’intrigue en temps rĂ©el s’est imposĂ© aux metteurs en scĂšne pour confĂ©rer de la vĂ©racitĂ© au propos du film plus qu’une contrainte, c’est un espace de libertĂ© qui donne des ailes aux acteurs qui rĂ©alisent quelques scĂšnes oĂč la magie et la grĂące se rejoignent. Si les dialogues sont riches de sens, ils sont parfois lĂ©gers, Ă  la limite du cul-cul
 mais toujours vrais
 on ne dit pas forcĂ©ment des choses passionnantes quand on est amoureux ! Trois grands chapitres se dessinent la rencontre dans le sex-club oĂč une scĂ©nographie audacieuse mĂšne Ă  la rencontre Ă©vidente de ThĂ©o et Hugo. Parce que c’est ThĂ©o, parce que c’est Hugo. L’écueil du film pornographique est magnifiquement Ă©vitĂ© par la scĂ©narisation de cette plongĂ©e dans la sexualitĂ© animale que transcende la rĂ©union des deux garçons que les corps anonymes cĂ©lĂšbrent. AprĂšs l’euphorie de la dĂ©couverte, on atterrit brutalement dans le concret et le tragique l’un des deux garçons est sĂ©ropo et ils ont baisĂ© sans capote ! Direction le service d’urgence d’un hĂŽpital proche pour la prise en charge dans le cadre du traitement d’urgence. Et lĂ , dans cette scĂšne qui aurait pu ĂȘtre abrupte et rĂ©barbative, la magie de la complicitĂ© et de la bienveillance qui rĂ©unit dĂ©jĂ  les deux garçons fonctionne. On ne remerciera jamais assez Ducastel et Martineau pour cet aspect pĂ©dagogique de leur travail, qui dĂ©dramatise la situation mais renforce l’urgence et la gravitĂ© de la prise de risques. Enfin, le troisiĂšme volet plus lĂ©ger donne libre cours Ă  une balade dans un Paris nocturne, dĂ©sert, poĂ©tique
 et l’union entre les deux personnages se cristallise, sans fausse note et sans mensonge ! RĂ©alisĂ© avec peu de moyens et une Ă©quipe technique resserrĂ©e, le film est emmenĂ© par une mise en scĂšne efficace on suit au plus prĂšs les deux protagonistes dans une chorĂ©graphie enchanteresse
 ThĂ©o et Hugo dans le mĂȘme bateau prend le parti d’ĂȘtre volontiers ancrĂ© dans un monde dont l’ouverture aux autres, aux diffĂ©rences, aux dialogues sont un rĂ©flexe salvateur ! Hugues DEMEUSY ThĂ©o et Hugo dans le mĂȘme bateau Film français rĂ©alisĂ© par Olivier Ducastel et Jacques Martineau Avec Geoffrey Couet et Pascal Nambot Genre Drame DurĂ©e 1h37 min Sortie le 27 avril 2016
Avec"ThĂ©o & Hugo dans le mĂȘme bateau", on ne sera donc pas dĂ©paysĂ©. Tout au contraire, on restera au centre de leur cinĂ©ma, avec sans doute une maniĂšre plus franche, plus directe d'aborder les questions qui les prĂ©occupent. Naissance de lÂŽamour en temps rĂ©el, par Ducastel et sĂ©quence d’ouverture, une vingtaine de minutes dans un sex-club de la capitale française, est impressionnante rien ne nous avait vraiment prĂ©parĂ©s, dans la filmographie d’Olivier Ducastel et Jacques Martineau, Ă  une observation aussi crue et juste du sexe entre mecs dans ce qu’on appelle familiĂšrement une “boĂźte Ă  cul”. DĂ©coupage Ă©nergique, rapports non simulĂ©s, musique tapageuse de Karell & Kuntur et lumiĂšre stroboscopique – tout concourt Ă  une exploration rĂ©ussie de ce qui fait, “souvent” selon le duo de rĂ©alisateurs ainsi qu’ils l’expliquent en dossier de presse, la premiĂšre rencontre de deux hommes homosexuels. C’est donc lĂ , dans une caverne de dĂ©bauche et d’épanouissement des corps, qu’Hugo et ThĂ©o se rencontrent, Ă©treintes passionnĂ©es et coĂŻt fiĂ©vreux aprĂšs qu’un regard ardent un eye contact prolongĂ© les a plongĂ©s dans les bras l’un de l’autre. Il est quatre heures du matin, ils n’ont “pas bu tant que ça” ; le club les rejette vingt minutes plus tard sur les trottoirs du 2e arrondissement, il est 4h20 et peut-ĂȘtre l’heure d’apprendre Ă  mieux se connaĂźtre, ailleurs. Sauf qu’Hugo est sĂ©ropositif, et que dans le feu de l’action, ThĂ©o a oubliĂ© de mettre une capote ; d’oĂč panique – mĂȘme en 2016, le VIH est toujours une rĂ©alitĂ©. S’ensuit une bonne demi-heure de course aux urgences de l’hĂŽpital Saint-Louis, qui fait curieusement ressembler le film Ă  un tract Sida Info Services tout y passe, de l’appel au NumĂ©ro Vert dĂ©diĂ© Ă  l’explication minute par minute de l’infirmiĂšre de garde. Ce n’est pas la partie la plus rĂ©ussie de ThĂ©o & Hugo vont en bateau dont le titre emprunte au CĂ©line et Julie vont en bateau 1974 de Rivette et qui lorgne, pour le cĂŽtĂ© temps rĂ©el, vers le ClĂ©o de 5 Ă  7 1962 de Varda, mĂȘme si la tension est palpable et rappelle l’engagement louable des rĂ©alisateurs pour la lutte contre la maladie on se souvient du joli Jeanne et le garçon formidable en 1998. Ce qui vient ensuite interpelle plus, juste dĂ©ambulation dans les rues de l’Est de Paris qui dresse, l’air de rien, la topographie de la ville dans ce qu’elle est aujourd’hui, et telle que les jeunes gens modernes la parcourent du canal Saint-Martin jusqu’à la place Stalingrad, oĂč l’on s’arrĂȘte prendre un kebab servi par un immigrĂ© syrien qui a un avis sur le conflit en cours dans son pays ; en attendant le premier mĂ©tro, oĂč l’on croise la plus toute jeune femme qui part faire le mĂ©nage dans les hĂŽtels de luxe. C’est le goĂ»t de Ducastel et Martineau pour “le vrai Paris” et “les vrais Parisiens”, tels que le sont eux-mĂȘme ThĂ©o et Hugo, bien conscients du fait que, plus tard, ils se sĂ©pareront sans doute mais qui, audacieux, se disent qu’une histoire d’amour, pour l’heure, pourrait valoir la peine.
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Du cul en premier, du cul et plein de cul ; pour un temps, on se croirait revenu au Rectum d’IrrĂ©versible
 LumiĂšres bleues et soleils rouges, backrooms et beats hardcore musique ad hoc de Karelle et Kuntur, hommes partout qui rĂŽdent, qui s’empoignent et qui s’imbriquent. Il y a ThĂ©o et Hugo qui baisent parmi eux, et un peu plus en fait. En train de tomber amoureux, mais sans le savoir encore car oui, un coup de foudre est possible mĂȘme au fond d’une cave Ă  partouze. ThĂ©o est lĂ , adossĂ© contre un mur en pierres voĂ»tĂ©, il contemple Hugo et il semble Ă©bahi. FragmentĂ©s d’abord, les voilĂ  ensemble l’un contre l’autre, puis l’un dans l’autre au milieu des rĂąles, des Ă©treintes et des saillies, avec seulement leurs baskets aux pieds
 La scĂšne, longue, sensuelle et magnifique, sublime la valse brutale des corps et des dĂ©sirs, et plus tard celle, intime, des regards qui se croisent, de ceux qui se sont trouvĂ©s
 Et puis crispation soudain, crispation dĂšs les premiers mots Ă©changĂ©s, dĂšs que ThĂ©o et Hugo se retrouvent dehors et revĂȘtus, la nuit dans Paris solitaire, Paris j’ai pas sommeil, Paris tout chaud, et puis se parlent. Tristesse alors, ĂŽ tristesse que d’ouvrir le film par une incroyable sĂ©quence de vingt minutes, affolante et coite et moite, pour venir ensuite compromettre le film par des dialogues empreints, le plus souvent, d’une banalitĂ© dĂ©sarmante et que les deux comĂ©diens, Geoffrey CouĂ«t et François Nambot, ont bien du mal Ă  soutenir malgrĂ© leur absolu dĂ©vouement. Beaucoup ont louĂ© le cĂŽtĂ© volontairement naĂŻf de la chose on cite volontiers Jacques Demy pour justifier ça, quel malheur
, sauf que cette supposĂ©e naĂŻvetĂ©, lourde dans les Ă©changes et pour l’ensemble du film, rĂ©siste mal Ă  la magie insouciante et enchanteresse du rĂ©alisateur nantais en tout cas jusqu’à Une chambre en ville. Ici tout paraĂźt plus affectĂ©, plus signifiant. Et plus didactique aussi dans cette rĂ©alitĂ© du Sida lĂ  et toujours lĂ , et mĂȘme si on n’en parle moins, et mĂȘme si on n’en parle plus entravant la relation de ThĂ©o et Hugo, ramenĂ©e pourtant Ă  une quinzaine de minutes aux allures de campagne de prĂ©vention sur le traitement d’urgence en cas de rapport Ă  risques, ou un court-mĂ©trage dĂ©modĂ©, ressorti des vieux cartons de 3 000 scĂ©narios contre un virus ou L’amour est Ă  rĂ©inventer. Ou mĂȘme une espĂšce de mode d’emploi exhaustif on a le droit aux effets secondaires et Ă  chaque pilule avalĂ©e, du dĂ©lire
 rajoutĂ© lĂ  pour faire acte de charitĂ©, d’on ne sait quelle bonne volontĂ©. D’ailleurs on n’en parlera plus vraiment aprĂšs, affaire quasi rĂ©glĂ©e, une pĂ©ripĂ©tie en moins dans le parcours amoureux des deux amants qui se promettent de vivre ensemble pour les vingt prochaines annĂ©es
 Et le film de vouloir traiter certains sujets d’actualitĂ© dits "socio-sensibles" de cette mĂȘme façon, bĂ©ate et gauche les femmes qui travaillent la nuit, ThĂ©o qui rumine son possible engagement humanitaire, un Syrien qui parle de son pays d’avant la scĂšne est d’un amateurisme presque gĂȘnant, une parisienne des gens et de sa retraite
 Olivier Ducastel et Jacques Martineau veulent dire des choses de notre sociĂ©tĂ© et de notre quotidien, mais trop vite, grossiĂšrement, maladroitement, et confronter ces choses Ă  la nouveautĂ©, Ă  la fĂ©brilitĂ© de la rencontre. Il fallait, au contraire, faire fi des jolis discours et inscrire les deux amants dans un autre espace-temps, celui du sentiment amoureux qui vous laisse dans votre bulle, sur votre petit nuage, loin du monde et des autres Paris n’est pas dĂ©sert pour rien, et qui Ă©chapperait Ă  la platitude de belles paroles, exacerbant davantage le romantisme de n’importe quelle situation, l’affranchissant de tout sermon. Du romantisme crachĂ© jurĂ© comme une balade en VĂ©lib’, comme un sprint le long du canal Saint-Martin, comme des yeux dans les yeux qui s’éternisent dans un premier mĂ©tro, et cette fin Ă  la OrphĂ©e oĂč tout peut recommencer
 LĂ  tout Ă  coup, Ducastel et Martineau visent droit au cƓur, balardent le superflu, Ă©voquent simplement ces petits riens qui font le tout d’un amour naissant qui vous tombe dessus. Olivier Ducastel et Jacques Martineau sur SEUIL CRITIQUES Haut perchĂ©s.
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  • theo et hugo dans le meme bateau