2DÉCISION UNION FÉDÉRALE DES CONSOMMATEURS QUE CHOISIR DE CÔTE D'OR c. FRANCE EN FAIT L'association requérante, l'Uniondesfédérale des Consommateurs Que pourChoisir de Côte d'Or (UFC Que choisir 21), est une personne morale de droit français dont leindiquesiège social estàà Dijon.qu'elleElle est représentéedanspar
Bourse Publié le 07/06/2022 à 1853 - Mis à jour le 07/06/2022 à 1844 La Bourse de Paris a terminé en baisse de 0,74% mardi, adoptant une position prudente avant la réunion de la Banque centrale européenne BCE de jeudi et la publication vendredi de chiffres sur l'inflation aux États-Unis. L'indice vedette CAC 40 a perdu 48,43 points à points. La veille, il avait gagné 0,98% grâce à la levée de certaines restrictions sanitaires en Chine, lors d'un lundi de Pentecôte resté calme. Cette semaine, les regards vont se tourner vers la réunion de politique monétaire de la BCE, prévue jeudi. Sur les marchés européens, tout le monde est focalisé sur la BCE», a confirmé Philippe Cohen, gérant de portefeuilles de Kiplink Finance, et on attend de savoir ce qu'elle va enclencher comme hausse des taux et sur quelle durée». Alors que depuis mars, la banque centrale américaine Réserve fédérale, Fed relève progressivement ses taux directeurs dans l'espoir de freiner l'inflation, la BCE n'a pas encore annoncé précisément une hausse de ses taux. L'institution européenne devrait également décider jeudi l'arrêt de ses rachats nets de dette, qui ont jusqu'à présent permis de soutenir les marchés avec des liquidités abondantes. En l'absence de résultats d'entreprises, les seuls catalyseurs des marchés sont l'évolution des taux et l'inflation», souligne Philippe Cohen. Et sur le marché obligataire, les investisseurs ne savent pas sur quel pied danser. L'analyste de Kiplink Finance note que les taux obligataires sont très fluctuants en fonction des statistiques économiques. Certaines montrent une inflation très élevée et d'autres laissent penser qu'on a atteint un pic de hausse de prix, donc les différentes interprétations jouent sur les taux". Casino manque d'intérêt L'action Casino a perdu 4,15% à 17,11 euros, après la parution d'un article de BFM Business affirmant que sa filiale de production d'énergie renouvelable GreenYellow, à vendre, n'attire pas beaucoup d'acheteurs. Dassault Systèmes en bas du tableau L'action de Dassault Systèmes a été pénalisée par la dégradation de la recommandation de Jefferies. Le titre a perdu 2,31% à 38,66 euros. Les banques en baisse Les banques françaises ont perdu du terrain mardi. Société Générale a reculé de 1,72% à 25,20 euros, BNP Paribas de 1,56% à 52,45 euros et Crédit Agricole de 1,40% à 10,02 euros. Elles ont été épinglées par l'association de consommateurs UFC-Que Choisir, qui leur reproche leurs frais trop élevés et appelle le gouvernement à les réduire. Elles sont de plus touchées négativement par la baisse des taux obligataires. Le Revenu, avec AFP
LPO- Ligue de Protection des Oiseaux de la Côte-d’Or, Office français de la biodiversité, Parc national des forêts. Contacts avec La grande Côte Chatillonnaise. Des actions communes sont à prévoir si elles sont lien avec leurs observation. Autres observations utiles. UFC que choisir, L’EPAGE Sequana,
La bataille du pouvoir d'achat a commencé. Getty Images Pouvoir d'achat Les 3 sujets de grogne qui montent contre Macron Getty Images POUVOIR D'ACHAT - Ce n'est pas leur genre, mais ils en ont vraiment marre. Ce 15 mars, les retraités ont battu le pavé pour défendre leur pouvoir d'achat, en même temps que les personnels des maisons de retraite pour réclamer plus de moyens humains. "Non à la baisse des pensions", "ni privilégiés ni assistés" derrière ces mots d'ordre, neuf syndicats CGT, FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, Solidaires, FGR, LSR et UNRPA ont invité les retraités à se rassembler partout en France. La hausse de la CSG du 1er janvier, non compensée par des baisses de cotisations comme chez les actifs, leur reste en travers de la gorge. Il ne faut pas s'attendre à des rues noires de monde, mais ces seniors vont entonner le refrain d'une petite musique qui s'installe, au risque de ne plus sortir de la tête d'Emmanuel Macron le gouvernement ne fait rien pour le pouvoir d'achat, au contraire. Voici les trois départs de feu qu'Emmanuel Macron va devoir éteindre rapidement s'il veut poursuivre sereinement son action. Depuis le 1er janvier, une majorité de seniors est touchée par la hausse de 1,7% de la CSG. Une baisse de pouvoir d'achat assumée par le gouvernement, sous prétexte d'augmenter les revenus du travail des actifs. "Avec 2000 euros de pension, je perds 34-35 euros par mois, soit plus de 400 euros par an", explique Michel Salingue, ancien instituteur et délégué syndical FGR-FP, coorganisateur des manifs du jour. "Il y aura du monde", assure-t-il. "Beaucoup plus qu'en septembre", quand des milliers de personnes avaient manifesté contre cette mesure destinée à compenser la suppression des cotisations chômage et maladie du privé. Pourtant, le gouvernement a épargné les plus petites retraites. Celles inférieures à 1200 euros par mois 1841 pour un couple ne sont pas concernées par la réforme. Mais "la réalité est un peu plus subtile", souligne Didier Hotte UCR-FO, tous les revenus du foyer, comme la location d'"une chambre à un étudiant", étant pris en compte. Cette réforme vient attiser la frustration héritée des précédentes années gel des pensions, suppression de la demi-part des veuves, etc. Revalorisées de 0,8% en octobre, les retraites ne le seront plus avant janvier 2019 au profit d'une augmentation du minimum vieillesse. "Nous avons l'impression d'être la cinquième roue de la charrette", déplore Michel Salingue, rappelant que la pension moyenne s'élève à "1300 euros". Avec les suppressions de cotisations sur le salaire des actifs, la suppression progressive de la taxe d'habitation est la deuxième grande mesure du gouvernement pour le pouvoir d'achat. En l'espace de trois ans, il doit en dispenser près de 80 % des foyers -30% en 2018, -65% en 2019 et -100% en 2020. Ce dégrèvement sera réservé aux contribuables dont le revenu fiscal de référence ne dépasse pas euros pour un célibataire et euros pour un couple sans enfant. Et, le gouvernement l'a promis dès janvier, la taxe d'habitation ne sera pas remplacée par un autre impôt. Une communication bien huilée, à ceci près que l'État ne peut rien contre les décisions fiscales des collectivités locales. Or avec la suppression de la taxe d'habitation, elles perdent la main sur une ressource majeure. L'État s'est engagé à la compenser à l'euro près, mais la tentation semble forte de pousser d'autres taxes pour se garantir des marges de manœuvres financières, hors de portée des décisions de l'État. Ainsi, Christian Estrosi a annoncé en mars une nouvelle taxe foncière sur les propriétaires de la métropole Nice Côte d'Azur. Pour l'Union nationale de propriété immobilière UNPI, c'est la preuve que la compensation a commencé au niveau local. À Bordeaux ou Nantes, c'est la création des surtaxes sur les résidences secondaires qui alimente cette thèse, même si la raison officielle est la lutte contre les locations de type Airbnb. Un vrai défi pour Emmanuel Macron. Décentralisées, ces hausses d'impôts sont impossibles à appréhender dans leur totalité, et donc à réfuter rationnellement. Du 20 juillet au 21 décembre dernier, les États généraux de l'alimentation ont réuni producteurs, industriels, distributeurs et pouvoirs publics notamment pour trouver une solution à la crise agricole. Résultat le gouvernement a présenté le 31 janvier une loi Alimentation censée mettre un coup d'arrêt à la guerre des prix que se livrent Carrefour, Leclerc et consort, au détriment des petits producteurs. Sauf que les mesures phares ne semblent pas répondre à la question initiale, et risquent même de coûter cher aux consommateurs. D'abord, les rabais seraient limités à 34% sur les produits sur les denrées alimentaires. Ce serait la fin des offres "un acheté, un offert", ou des coups comme le Nutella à -70% chez Intermarché. Ensuite, le seuil de revente à perte SRP, serait relevé de 10% pour intégrer les coûts indirects, comme la logistique et le stockage. C'est-à-dire qu'ils viendraient s'ajouter aux prix d'achat pour définir le prix plancher d'une promotion, sauf cas exceptionnel. Les associations de consommateurs ont aussitôt dénoncé le danger. Pour l'UFC-Que Choisir, cette loi coûtera jusqu'à 5 milliards d'euros aux consommateurs. Le seul relèvement du SRP provoquerait une inflation de 0,7 à 2% sur les produits alimentaires, au plus haut depuis 2009. À voir également sur Le HuffPost
Daprès les chiffres de RefundMyTicket, société spécialisée dans les demandes d'indemnisation, 3,11 % des vols cet été sont éligibles à une compensation financière. Ils correspondent aux départs annulés ou retardés de plus de trois heures, ces derniers sont ainsi trois fois plus nombreux que l'année passée. Conséquence : le
ThématiqueAide à la personne, maison de retraite, taux plein, pension de réversion, société de téléassistance, assurance dépendance, 5e risque »... Pour aborder la vieillesse en toute sérénité, nos experts vous proposent des actualités, enquêtes, conseils et tests de produits et dans Senior » Tous les contenus des dossiers SeniorActualitéProche aidant • Quels sont vos avantages fiscaux ? Publié le 07/07/2022 Les personnes qui viennent en aide à un membre de leur entourage handicapé, malade ou dépendant bénéficient de certains droits sociaux. Pour les soutenir, l’État leur accorde aussi certains avantages • L’Aspa, une pension minimum peu sollicitée Publié le 26/06/2022 Depuis quinze ans, l’allocation de solidarité aux personnes âgées Aspa garantit un revenu minimal aux retraités qui ont peu ou pas cotisé à l’assurance vieillesse. Elle a pris la suite des diverses prestations qui composaient le minimum vieillesse créé en 1956. Un filet de sécurité essentiel…Carte interactiveComparateur gratuit des maisons de retraite et EHPAD • Trouvez la maison de retraite idéale près de chez vous31/05/2022 Comment trouver un Ehpad Établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes ou une maison de retraite près de vous ? Avec notre carte interactive, accédez aisément aux informations concernant les maisons de retraite visitées à côté de chez vous. Retrouvez tous les éléments utiles pour…EnquêteExclusion numérique • Trop de “laissés de côté” Publié le 25/05/2022 Refaire ses papiers, déclarer ses revenus, obtenir des aides sociales, s’informer, communiquer, acheter… difficile de se passer d’Internet au quotidien ! Pourtant, la dématérialisation à outrance risque de laisser des millions de personnes sur le bord de la route. Des solutions existent, mais elles…Action UFC-Que ChoisirAccès aux EHPAD • Stop aux intolérables disparités géographiques et économiques ! Publié le 17/05/2022 Alors que les récentes informations sur les pratiques d’EHPAD privés ont logiquement scandalisé l’opinion, l’UFC-Que Choisir rend aujourd’hui publique une étude dévoilant un autre scandale lié au secteur des EHPAD la fracture territoriale qui frappe les séniors devant entrer dans ce type…ActualitéFin de carrière • La retraite progressive ouverte aux salariés en forfait jours Publié le 30/04/2022 Les salariés en forfait annuel jours vont pouvoir s’inscrire dans le dispositif de retraite progressive et lever le pied en fin de carrière. Le décret les y autorisant vient d’être • Une clientèle qui s’élargit Publié le 05/04/2022 L’assistance par téléphone n’est plus réservée aux personnes âgées ou invalides. Elle s’adresse désormais à un vaste public, préoccupé par sa santé mais aussi sa sécurité. À quel prix, avec quels équipements et pour quels services exactement ?DécryptageTéléassistance • Les différents équipements Publié le 05/04/2022 Les services de téléassistance mettent à la disposition des personnes âgées des équipements connectés directement aux centres d’appels transmetteur, détecteur de chute, capteurs de mouvements… en Ehpad • Des appels de détresse en hausse Publié le 24/03/2022 Éclairage sur les mauvais traitements dans les Ehpad au travers des communications passées au 3977, le numéro qui permet de les • La génération 1961 sera la première concernée par le recul de l’âge légal Publié le 21/03/2022 L’âge légal de départ en retraite devrait être porté à 65 ans si Emmanuel Macron est réélu à l’élection présidentielle en avril prochain. Sous réserve que ce seuil soit adopté par les parlementaires d’ici à la fin de l’année, il devrait s’appliquer pleinement, pour la première fois, aux générations…ActualitéRetraite • Qui devrait être concerné par le recul de l’âge de départ ? Publié le 15/03/2022 Candidat à un nouveau mandat, Emmanuel Macron s’est positionné sur l’épineux sujet des retraites. S’il est réélu, les Français devront travailler plus longtemps car l’âge légal de départ devrait passer de 62 à 65 ans. à domicile vidéo • Les équipements qui facilitent la vie Publié le 26/02/2022 Rester chez soi jusqu’à ses derniers jours est parfois possible. Encore faut-il que le logement soit adapté au grand âge. Grâce à divers travaux d’aménagement, on peut notamment éviter les risques de chute. Mais il existe aussi de nombreux équipements et ustensiles bien pensés qui permettent de remé…EnquêteAlternatives aux Ehpad • Où habiter pendant ses vieux jours ? Publié le 23/02/2022 L’âge venant, il semble parfois difficile de continuer à vivre dans le logement où l’on se sentait si bien. Beaucoup n’entrevoient alors qu’une solution partir pour un Ehpad. Ce scénario n’est pourtant pas une fatalité. Les professionnels ont bien compris que les baby-boomers n’envisagent pas…EnquêteAlternatives aux Ehpad • Reportage dans un habitat partagé accompagné Publié le 23/02/2022 Parmi les nombreuses alternatives aux Ehpad, l’habitat partagé accompagné propose des solutions à taille humaine et à l’organisation peu contraignante où l’on fait tout pour maintenir l’autonomie des résidents. Reportage à Ouges Côte-d’Or, dans une de ces résidences de colocation pour seniors.…ActualitéEhpad • Comment attaquer en justice Publié le 13/02/2022 De nombreuses familles saisissent la justice à la suite de la médiatisation de la maltraitance dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes Ehpad. 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Aider devrait être un choix et, surtout, ne jamais rimer avec épuisement ou précarité.…EnquêteDépendance • Le droit au répit des aidants Publié le 04/01/2022 Fatigue, stress, maux de dos… pour tenir, l’aidant doit se ménager des temps de repos. Mais il est difficile de les trouver et de les • Que penser du service Veiller sur mes parents » de La Poste ? Publié le 04/01/2022 La Poste propose Veiller sur mes parents », un service qui s’appuie sur la visite des facteurs. Lors de leur tournée, ils prennent le temps d’ • On tente de suivre l’exemple du baluchonnage québécois Publié le 04/01/2022 Originaire du Québec et testée en France, cette solution de répit mérite d’être pérennisée. Son modèle économique reste toutefois à • Le Danemark, un modèle inspirant Publié le 04/01/2022 Les pays scandinaves sont cités en exemple pour leur prise en charge de la perte d’autonomie. 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Dans certains cas, elle est imposée par la loi. Et si soutenir son proche ne donne droit, en principe, à aucune compensation, le parent aidé peut vouloir manifester sa des retraites • Le calendrier 2022 Publié le 04/01/2022 À échoir ou à terme échu ? Selon les régimes de retraite, cette subtilité fait toute la différence sur les dates effectives de versement des pensions. Voici en détail les calendriers 2022 des principaux régimes de • Une revalorisation en demi-teinte Publié le 01/11/2021 Les pensions de retraite complémentaire Agirc-Arrco vont être revalorisées de 1 % à partir de ce 1er novembre. C’est moins que l’ en retraite 2021 • Vos indemnités sont-elles imposables ? Publié le 14/07/2021 Le régime fiscal des indemnités perçues par les salariés qui partent à la retraite dépend des conditions de leur départ et de leur montant. Leur fraction imposable peut bénéficier du système du quotient pour en réduire l’ à l’hôpital et en Ehpad • Des limitations injustifiées Publié le 24/06/2021 L’encadrement, voire l’interdiction, des visites aux proches hospitalisés ou en maison de retraite subsistent, sans que des raisons sanitaires les expliquent, et font des aidants • Comment bénéficier de la nouvelle allocation journalière de la Caf ? Publié le 10/06/2021 Une allocation peut être versée aux personnes obligées de cesser provisoirement leur activité professionnelle pour s’occuper d’un proche en perte d’autonomie ou en situation de handicap. Le point sur les démarches à effectuer. DécryptageActivité physique des seniors • Visez la bonne dose Publié le 25/05/2021 Les repères sur l’activité physique après 65 ans délivrés par les autorités de santé méritent quelques explications et âge • Comment repérer la fragilité Publié le 25/05/2021 Entre bonne autonomie et grande dépendance, la fragilité » des personnes âgées est un état intermédiaire qui mérite d’être identifié pour éviter une dégradation de carrière • Un accès bientôt plus large à la retraite progressive Publié le 12/03/2021 La retraite progressive doit bénéficier aux salariés en forfait jours réduit, comme c’est le cas pour les salariés à temps partiel. Tel est le sens d’une récente décision du Conseil constitutionnel. des retraites • Le calendrier 2021 Publié le 29/01/2021 À échoir ou à terme échu ? Selon les régimes de retraite, cette subtilité fait toute la différence sur les dates effectives de versement des pensions. Voici en détail les calendriers 2021 des principaux régimes de 2021 • À quoi s’attendre ? Publié le 14/01/2021 Réforme à l’arrêt, moindres revalorisations des pensions… Les retraités, comme les futurs retraités, sont impactés par la crise du • 5 exercices à faire sur une chaise Publié le 21/12/2020 Conserver une activité physique, même légère, permet d’éviter les chutes et de renforcer sa musculature. Si votre équilibre est vacillant, pratiquez-la depuis votre chaise. ActualitéActivité physique • Pas besoin d'exercice intense pour les seniors Publié le 07/11/2020 L'exercice physique est un outil de prévention efficace. Mais quelle est la bonne dose quand on est un senior ? Faire plus, ou plus intense, n'est pas forcément la solution, d'après une lecteurs • Aidants, comment vous portez-vous ? Publié le 26/10/2020 Aide pour les tâches administratives, la toilette, les courses… À lui seul, un aidant cumule un grand nombre de tâches, parfois au prix de sa propre santé physique et morale. Ce sombre constat, vous l’avez confirmé par vos réponses à notre enquête lecteurs votre rôle d’aidant a un lourd impact.…DécryptageAidants • Une santé sacrifiée Publié le 26/10/2020 Prendre soin d’un époux malade, d’un parent vieillissant ou d’un enfant handicapé peut s’avérer très prenant, voire épuisant. Selon notre enquête lecteurs, vous êtes 77 % à soutenir un proche, tous les jours ou presque. Bon nombre de personnes qui s’occupent ainsi d’un membre de leur famille…
L’envoi d’un courriel, accompagné d’une pièce jointe, n’est pas sans conséquence pour l’environnement: 19 g de CO2 », fait remarquer, sceptique, UFC-Que choisir sur son site
Aux termes de l'article 1142 du Code civil, toute obligation de faire ou de ne pas faire se résout en dommages et intérêts, en cas d'inexécution de la part du débiteur ». En effet, on considère que l’exécution forcée des obligations ayant pour objet un comportement personnel faire ou ne pas faire quelque chose serait attentatoire à la liberté humaine. La loi a donc posé le principe de l'impossibilité de l’exécution forcée d’une obligation de faire. Une telle obligation se résout ainsi en dommages-intérêts. Dès lors, à chaque fois que l’obligation de faire ou de ne pas faire présente un caractère purement personnel, toute contrainte physique sur la personne du débiteur pour l'obliger à exécuter son obligation est exclue. Ainsi, depuis un arrêt du 15 décembre 1993, la Cour de cassation a jugé au sujet d’une promesse unilatérale de vente que l’obligation du promettant étant une obligation de faire, sa rétractation ne peut être sanctionnée que par des dommages-intérêts. Cass. civ 3e, 15 décembre 1993, pourvoi n° 91- 10199 Cette solution a plusieurs fois été réaffirmée par la Cour de cassation Cass. civ 3e, 28 octobre 2003, pourvoi n° 02-14459 ; Cass. civ 3e, 25 mars 2009, pourvoi n° 08-12237 ; Cass. civ 3e, 11mai 2011, pourvoi n° 10-12875 ; Cass. com., 13 septembre 2011, pourvoi n° 10-19526. Cependant , ce principe doit être largement nuancé. En effet, seules les obligations de faire ou de ne pas faire présentant un caractère purement personnel sont soumises à l'article 1142 du code civil. En revanche, lorsque l'exécution de l'obligation n'a pas de caractère strictement personnel, le créancier ne saurait se satisfaire d'une compensation pécuniaire ou exécution par équivalence. Ainsi, lorsque l'exécution forcée de l'engagement du débiteur est possible et demandée par le créancier, elle doit être ordonnée pour que soit respectée la force obligatoire du contrat. Ceci est le cas, par exemple, lorsque la prestation convenue peut être accomplie par une autre personne que le débiteur, comme il en va de l’exécution d’un travail de nature quelconque ou standard. Le créancier peut alors obtenir qu’une tierce personne accomplisse la prestation aux frais du débiteur. A cet effet, l’article 1143 du code civil dispose Néanmoins, le créancier a le droit de demander que ce qui aurait été fait par contravention à l'engagement soit détruit ; et il peut se faire autoriser à le détruire aux dépens du débiteur, sans préjudice des dommages et intérêts s'il y a lieu ». De même, l’article 1144 du code civil dispose également Le créancier peut aussi, en cas d'inexécution, être autorisé à faire exécuter lui-même l'obligation aux dépens du débiteur. Celui-ci peut être condamné à faire l'avance des sommes nécessaires à cette exécution ». La faculté de remplacement du débiteur suppose donc une autorisation du juge. Soc, 5 juin 1953 ; Civ 3e, 29 novembre 1972, Civ 3e, 20 mars 1991 ; Civ 3e, 5 mars 1997 ; Civ 3e, 11 janvier 2006 A cette occasion, le juge qui ferait droit à la demande peut condamner le débiteur à faire l’avance des sommes nécessaires à l’exécution par le tiers. Par ailleurs, depuis quelques décennies la Cour de cassation, sous couvert de l’article 1184 du code civil, rappelle régulièrement la règle selon laquelle la partie envers laquelle l’engagement n’a point été exécuté peut forcer l’autre à l’exécution de la convention lorsqu’elle est possible». Cass civ 3, 11 mai 2005, pourvoi n° 03-21136 ; Cass. civ. 1re, 16 janvier 2007, pourvoi no 06-13983 La Cour de cassation admet ainsi la possibilité de l'exécution forcée en nature de l'obligation contractuelle de faire ou de ne pas faire, lorsque l’exécution forcée est possible. Mieux, elle affirme même qu'il s'agit pour le créancier d'un droit opposable au débiteur Cass. civ. 1re, 16 janvier 2007, précité. En outre, la Cour de cassation a admis la possibilité d'obtenir l’exécution forcée d'une obligation de faire, si une clause du contrat le permet. En effet, selon la Haute juridiction, les parties à une promesse unilatérale de vente sont libres de convenir que le défaut d’exécution par le promettant de son engagement de vendre peut se résoudre en nature par la constatation judiciaire de la vente. Cass. Civ. 3e, 27 mars 2008, pourvoi n° 07-11721 Toutefois, le droit à l'exécution forcée en nature connait quelques limites. D'abord, ce droit n'existe que lorsque l'exécution est possible » l'impossibilité pouvant être soit matérielle si la prestation promise a définitivement disparu ou perdu son utilité pour le créancier soit juridique si elle est devenue illicite ou que l'exécution en nature porte atteinte à un droit acquis par un tiers de bonne foi ; Ensuite, l'exécution en nature n'est de droit que si elle est demandée par l'une des parties mais qu'en revanche, lorsque celles-ci sont d'accord pour lui substituer des dommages et intérêts, le juge ne peut passer outre. Dès lors, tous les moyens légitimes d'exécution forcée peuvent être mis en œuvre notamment l'astreinte qui est un moyen particulièrement efficace de contraindre indirectement le débiteur à s'exécuter en exerçant une pression sur son patrimoine. En définitive, le créancier d'une obligation de faire est titulaire d'un droit à son exécution forcée en nature. Ce droit à l’exécution forcée en nature ne fléchit que lorsque sa mise en œuvre risquerait de mettre en péril une liberté essentielle du débiteur ou les droits acquis par des tiers de bonne foi. Aussi, puisque l'exécution forcée en nature constitue un droit pour le créancier, le juge ne peut pas, par conséquent, refuser de condamner le débiteur à exécuter son obligation contractuelle lorsque le créancier le lui demande, en substituant à cette condamnation une allocation de dommages et intérêts. Cass civ 3, 11 mai 2005, précité Yaya MENDY
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Cequi place le cru 2009 de blé bio au troisième rang des plus mauvais crus depuis dix ans (juste après celui de 2007). En revanche, pour les départements de la façade atlantique, du Centre, du Bassin parisien, de la Bourgogne et de la Picardie – où le rendement des blés conventionnels avoisine facilement les 90 quintaux –, les
Voir C7, Dijon, sur le plan Itinéraires vers C7 à Dijon en empruntant les transports en commun Les lignes de transport suivantes ont des itinéraires qui passent près de C7 Comment se rendre à C7 en Bus? Cliquez sur la ligne de Bus pour connaitre les directions étape par étape avec des plans, heures d’arrivée et horaires mis à jour De Cora, Perrigny-Lès-Dijon 38 min De Domois, Fénay 42 min De Corcelles-Les-Monts, Corcelles-Les-Monts 22 min De Chevigny-Saint-Sauveur, Chevigny-Saint-Sauveur 54 min De Plombières-Lès-Dijon, Plombières-Lès-Dijon 27 min De American Way, Dijon 62 min De Chevigny-Saint-Sauveur, Chevigny-Saint-Sauveur 59 min De Bretenière, Bretenière 52 min De Nike Factory Store, Quetigny 50 min Stations de Bus proches de C7 à Dijon Nom de la station Distance 1er Mai Foyer 3 min de marche VOIR Tivoli 5 min de marche VOIR Petit-Cîteaux 5 min de marche VOIR Suquet 5 min de marche VOIR Monge Cité De La Gastronomie 6 min de marche VOIR Stations de Tram proches de C7 à Dijon Nom de la station Distance 1er Mai 4 min de marche VOIR Lignes de bus Bus vers C7 à Dijon Nom de la ligne Direction CO Marmuzots VOIR CITY Trémouille VOIR 18 Longvic Carmélites VOIR L5 Talant Dullin VOIR 12 Chicago VOIR EXPR Gare Sncf VOIR 33 Monge Cité De La Gastronomie VOIR 93 Dépôt Navette Personnel VOIR L4 Marsannay Portes Du Sud VOIR Questions & Réponses Quelles sont les stations les plus proches pour aller à C7 ? Les stations les plus proches de C7 sont 1er Mai Foyer est à 158 mètres soit 3 min de marche. 1er Mai est à 288 mètres soit 4 min de marche. Tivoli est à 293 mètres soit 5 min de marche. Petit-Cîteaux est à 328 mètres soit 5 min de marche. Suquet est à 356 mètres soit 5 min de marche. Monge Cité De La Gastronomie est à 373 mètres soit 6 min de marche. Plus de détails Quelles sont les lignes de Bus qui s'arrêtent près de C7? Ces lignes de Bus s'arrêtent près de C7 12, 18, 33, CO, L4, L5. Plus de détails Quelles sont les lignes de Tram qui s'arrêtent près de C7? Ces lignes de Tram s'arrêtent près de C7 T2. Plus de détails À quelle heure est le premier Tram à C7 à Dijon ? Le T2 est le premier Tram qui va à C7 à Dijon. Il s'arrête à proximité à 0432. Plus de détails Quelle est l'heure du dernier Tram à C7 à Dijon ? Le T2 est le dernier Tram qui va à C7 à Dijon. Il s'arrête à proximité à 0110. Plus de détails À quelle heure est le premier Bus à C7 à Dijon ? Le 93 est le premier Bus qui va à C7 à Dijon. Il s'arrête à proximité à 0417. Plus de détails Quelle est l'heure du dernier Bus à C7 à Dijon ? Le L5 est le dernier Bus qui va à C7 à Dijon. Il s'arrête à proximité à 0022. Plus de détails Voir C7, Dijon, sur le plan Transports en commun vers C7 à Dijon Vous vous demandez comment vous rendre à C7 à Dijon, France? Moovit vous aide à trouver le meilleur moyen pour vous rendre à C7 avec des instructions étape par étape à partir de la station de transport en commun la plus proche. Moovit fournit des cartes gratuites et des instructions en direct pour vous aider à vous déplacer dans votre ville. Consultez les horaires, les itinéraires, les emploi du temps, et découvrez combien de temps faut-il pour se rendre à C7 en temps réel. Vous cherchez l'arrêt ou la station la plus proche de C7? Consultez cette liste d'arrêts les plus proches de votre destination 1er Mai Foyer; 1er Mai; Tivoli; Petit-Cîteaux; Suquet; Monge Cité De La Gastronomie. Vous pouvez vous rendre à C7 par Bus ou Tram. Ce sont les lignes et les itinéraires qui ont des arrêts à proximité - Bus 12, 18, 33, CO, L4, L5 Tram T2 Vous souhaitez savoir s'il y a un autre trajet qui vous y amène plus tôt? Moovit vous aide à trouver des itinéraires ou des horaires alternatifs. Recevez des directions depuis et vers C7 facilement à partir de l'application Moovit ou du site Internet. Nous rendons l'accès à C7 plus facile, c'est pourquoi plus de 930 millions d'utilisateurs, y compris les utilisateurs de Dijon, ont choisi Moovit comme la meilleure application de transports en commun. Vous n'avez plus besoin de télécharger des applications pour les bus et/ou pour les trains, Moovit est votre application de transport tout-en-un qui vous aide à trouver les meilleurs horaires de bus et de trains disponibles. Pour obtenir des informations sur les tarifs des Bus et Tram des trajets vers la C7, veuillez consulter l'application Moovit. C7, Dijon Lieux incontournables autour de C7 à Dijon Association Alzheimer Cte Action Sociale Grand Theatre Les Chouettes du Coeur Chat-Libre Dijonnais Boite M9 Boite Pp2 La Téranga de Dijon - France Assoc Dijon Organis Evenements Sportif Association Combactive Alcool Assistance Croix Cote SOS Refoulement Prévention Routière C M a B J 5 Ctrc de Bourgogne Evad Aviam U-N-C Club Questions Pour Champion Dijon Cercle Généalogique de la Côte d'Or Lignes de transport en commun dont les stations sont les plus proches de C7 à Dijon Lignes de Bus ayant des stations proches de C7 à Dijon Dernière mise à jour le 17 août 2022
Vousêtes un particulier, vous avez un litige de consommation avec un professionnel : votre assureur, votre garagiste, votre fournisseur téléphonie ou internet, etc. Vous cherchez à vous
27 juin 2022 Les actions du CNVMch les éléments soulignés sont téléchargeables Présentation du projet, Arrêtés, Enquête publique, Lettre au préfet, Observations sur l’Enquête publique les arguments du collectifs ont été repris dans la lettre adressée au préfet, plusieurs adhérents ont participé. Observation de Daniel Chateigner du CSNM. Presse contactée Le Canard Enchaîné, Le Monde, Libération, Médiapart, Cash Investigation, Sur le Front, Le Monde Diplomatique, Le journaliste du journal qui a fait l’article sur ce methaniseur XXL, Splann ! Lanceur d'enquêtes. 220 maires contactés 4 ont répondus, 3 contre le projet, 1 pour et fort mécontent de notre mail. A noter Le président de La Communauté de Communes Auberive-Vingeanne-Montsaugeonnais a pris contact avec le collectif, Le maire d'Auberive en Haute-Marne, premier vice-président du Parc National a pris contact avec le collectif. Courriels d'alerte envoyés CRECEP - Collectif Régional d’Experts et de Citoyens pour l’Environnement et le Patrimoine Bourgogne Franche-Comté, Confédération nationale des paysans national et de Côte-d’Or voir le communiqué de presse. FNE - France Nature Environnement 21. Courriels d'alerte envoyés restés sans réponse Conseil régional, Conseiller régional co-animateur du CRECEP, DRAC - Direction Régionale des Affaires Culturelles de Dijon, LPO - Ligue de Protection des Oiseaux de la Côte-d’Or, Office français de la biodiversité, Parc national des forêts. Contacts avec La grande Côte Chatillonnaise Des actions communes sont à prévoir si elles sont lien avec leurs observation. Autres observations utiles UFC que choisir, L’EPAGE Sequana, Syndicat du Bassin du Serein SBS, Etablissement Public de Coopération Intercommunal EPCI, Avis de la MRAE - Mission Régionale d’Autorité environnementale de Bourgogne-Franche-Comté. ​ D’autres actions du collectif sont à prévoir ...
Au1er novembre 2016, les tarifs réglementés de vente du gaz d’Engie augmentent en moyenne de 0,8 % (hors taxes) par rapport aux tarifs d’octobre. La hausse varie selon l’usage du gaz : – + 0,5 % pour ceux qui utilisent le gaz uniquement pour la cuisson, – + 1 % pour ceux qui ont un double usage cuisson et eau chaude, – + 1,6 %
Vol de carte, fraude internet… La Cour de cassation confirme que les banques remboursent sauf à prouver une faute ou une négligence grave. Ce 18 janvier, la Cour de cassation a jugé cinq affaires opposant des clients du Crédit Mutuel Nord Europe à leur banque et à chaque fois elle a affirmé que la banque devait rapporter la preuve de la faute ou de la négligence du client invoquée», témoigne Olga de Sousa, juriste à l’UFC-Que Choisir. En principe, les banques européennes doivent rembourser toutes les opérations frauduleuses sur simple déclaration et remettre votre compte en l’état. Mais pour récupérer 835 euros, un client du Crédit Mutuel Nord Europe a subi, pendant plus de trois ans, les multiples recours de sa banque qui lui reprochait de s’être laissé hameçonner ses données. Heureusement, l’arrêt de la Cour de Cassation du 18 janvier 2017 en faveur de ce client fera date. Protégé mais pas irresponsable Cet arrêt et les quatre autres rendus sur des affaires similaires, rappellent notamment que la charge de la preuve de la négligence du client pèse sur les banques. La Cour de cassation a jugé qu’il revenait à l’établissement bancaire de rapporter la preuve que l’utilisateur, qui nie avoir autorisé une opération de paiement, a agi frauduleusement ou n’a pas satisfait intentionnellement ou par négligence grave à ses obligations». A contrario cela veut aussi dire que votre responsabilité financière peut être engagée en cas de négligence grave, si tant est que la banque puisse la prouver. Typiquement, si l’on retrouve le code de la carte sur un post-it» dans le sac volé, si vous tardez à faire opposition en cas de vol, ou si vous avez donné votre code à un proche. Certaines personnes sont malheureusement abusées par leur entourage. Un code secret doit rester secret !» martèlent les banques. Fraudes les choses à savoir Les banques remboursent sur simple déclaration l’intégralité de la fraude sauf en cas de fraude ou de grosse négligence du payeur, mais avec une franchise de 150 euros en cas de perte ou de vol de la carte. En contrepartie, la plupart des banques demandent de déposer plainte à la police. Mais vous n’y êtes pas obligé. Votre banque peut aussi vous demander de confirmer par écrit que vous n’aviez pas passé de commande sur le site utilisé pour la fraude. En effet, certaines dispositions de la directive sur les services de paiements de 2009 transposées dans l’article du Code monétaire et financier prévoient qu’une franchise de 150 euros puisse rester à votre charge en cas de perte ou vol de votre carte sur les opérations réalisées avant opposition. Toutefois, cette franchise ne s’applique que lorsque le paiement contesté a été initié avec utilisation de votre code secret pour des retraits au guichet ou des paiements chez des commerçants équipés de terminaux de paiement par exemple. Si ce n’est pas le cas, vous serez remboursé intégralement, sauf agissement frauduleux ou grosse négligence de votre part. Cela dans l’Union européenne. Hors de l’Union européenne, cette franchise s’applique malheureusement que votre code secret ait été utilisé ou non, et votre délai de contestation est ramené de 13 mois à 70 jours conventionnellement étendu à 120 jours par les banques.
Cest la bataille lancé par l'UFC Que Choisir de Côte-d'Or. Après deux mois d'enquête dans 15 poissonneries du département, l'association de consommateurs estime que
Juger l’Administration, c’est encore administrer »1Le rôle politique du conseil d’état…Pareille affirmation est à même, pour certains, de susciter une certaine méfiance. Pour d’autres, elle relève de l’évidence. Pour d’autres, enfin, ceux viscéralement attachés à la conception française de la séparation des pouvoirs, elle relève par essence d’une immixtion du judiciaire dans les autres pouvoirs et est à bannir. En tout état de cause, elle ne laisse pas insensible et interpelle nécessairement le juriste. 2Il est vrai qu’a priori, l’idée selon laquelle un juge ait un rôle politique répugne en soi aux principes fondamentaux de la séparation des pouvoirs, principalement définis dès le XVIIIème siècle, notamment par John Locke [1] et Montesquieu [2]. Plus tard, la Révolution française et, après elle, le républicanisme ont sanctifié ces principes, qui sont devenus en quelque sorte l’apanage de la République, dont l’absolutisme ne pouvait aucunement être contesté. Toutefois, affirmer que le juge administratif est investi d’un rôle politique, ce n’est aucunement contester la séparation des pouvoirs, mais bien mettre des mots sur un simple constat. 3Il convient à ce stade de notre réflexion de définir ce que nous entendons sous le vocable de politique, dont nous ne pouvons que regretter le caractère quasi amphibologique. Il ne serait point convenable d’adopter une vision trop large de la notion de politique, selon laquelle toute activité participant de l’organisation sociale et de la vie de la cité serait nécessairement politique. En effet, selon pareille définition, toute activité juridictionnelle entrerait dans le giron du politique [3] et notre réflexion n’aurait que peu d’intérêt. Il ne serait point non plus convenable d’adopter une vision trop restrictive, selon laquelle seule l’activité décisionnelle des pouvoirs publics serait politique, car cela ne donnerait point au vocable toute l’étendue de sa signification. La définition que nous retiendrons se situe donc à mi-chemin ; un rôle politique correspond, à notre sens, à l’influence directe sur les rouages du pouvoir et sur la création normative. 4Cette influence directe peut être observée à l’aide non pas des méthodes du droit, mais bien de celles de l’histoire et de la science administrative. 5D’un point de vue historique, il n’est guère contestable que le Conseil d’État est intrinsèquement lié au pouvoir politique. Descendant en ligne directe du Conseil du Roi, dont la connotation politique n’est pas à démontrer, il a été créé par l’article 52 de la constitution du 22 frimaire an VIII. La mise en place d’une telle institution fut justement faite au nom de la séparation des pouvoirs, car il était inconcevable de laisser au juge judiciaire le soin de juger l’administration, les révolutionnaires préférant laisser cette prérogative à l’administration elle-même, ce qui avait déjà été affirmé dans une loi des 6, 7 et 11 septembre 1790 [4]. Le rôle contentieux du Conseil d’État n’était point similaire à son rôle actuel, car il n’était pas investi de prérogatives juridictionnelles, ces dernières incombant au pouvoir exécutif, chef de l’administration. Le Conseil d’État ne faisait que proposer des décisions, il s’agissait du système de la justice retenue. Outre ce rôle contentieux relativement restreint, le Conseil d’État était également le conseillé du pouvoir et était investi d’une importante mission consultative, ce qui est d’ailleurs toujours le cas [5]. Le poids de cette histoire est toujours visible aujourd’hui, ce qui fait du Conseil d’État une institution traditionnellement proche du pouvoir politique. 6Cela nous conduit à étudier la question sous l’angle de la science administrative. Selon cette approche plus pragmatique, il est évident qu’il existe des liens non institutionnels entre le Conseil d’État et les institutions politiques constitutionnelles. Ces liens sont intrinsèquement liés aux membres du Conseil d’État. En effet, ces derniers, de par les modes de recrutement sont très proches du pouvoir politique. Premièrement, les auditeurs sont des jeunes diplômés de l’ENA, qui ont donc suivi le même cursus que la plupart des hauts dignitaires politiques et ont été dans les mêmes promotions. Il n’est pas rare que ces jeunes auditeurs, après quelques années au Palais-Royal, entrent en politique ou dans les cabinets ministériels. Deuxièmement, il y a les nominations des maîtres des requêtes et conseillers d’État au tour extérieur, c’est-à-dire par décret du Président de la République, selon des conditions relativement strictes. Ces nominations concernent entre un tiers et la moitié des membres de la juridiction, ce qui n’est pas négligeable. Enfin, troisièmement, il y a les fonctionnaires de l’administration active en détachement, qui symbolisent les liens étroits entre juridiction administrative et administration. Il est vrai que ces divers modes de nominations créaient un climat de grande proximité avec le pouvoir politique qui a souvent été critiqué par la doctrine [6]. Toutefois, ces modes de recrutement sont des traditions anciennes du Conseil d’État et cette proximité d’avec le pouvoir politique n’est aucunement synonyme de politisation de l’institution [7] ; il convient en effet voir cela comme un bienfait pour l’institution que de pouvoir compter parmi ses membres des personnes proches de l’administration active et du pouvoir politique, qui ont un réel sens de l’État et qui seront les mieux à même d’apporter une vision réaliste. Cette synthèse entre nominations politiques et autres nominations a permis à la Haute juridiction de trouver un réel équilibre. Toutefois, il est important de veiller à ne pas rompre cet équilibre, il en va de l’impartialité de la juridiction et de sa crédibilité. C’est ainsi qu’entre 1981 et 1990, la droite a pu critiquer certains copinages » politiques ayant conduit à un surplus de nominations au tour extérieur [8]. 7Toutes ces considérations témoignent de liens étroits entre le Conseil d’État et le pouvoir politique. Mais l’existence de pareils liens n’est pas automatiquement synonyme d’un réel rôle politique et c’est bel et bien vers un autre axe de recherche qu’il faut se tourner pour trouver le ciment de notre démonstration. Ainsi, à notre sens et en nous cantonnant à la fonction juridictionnelle du Conseil d’État, il nous semble que son rôle politique puisse être décelé à deux égards, lesquels ne doivent cependant pas être perçus comme des vases clos, tant ils s’interpénètrent et se complètent. 8Premièrement, ce rôle politique s’entrevoit derrière la fonction première du juge administratif juger l’administration. Il s’agit ni plus ni moins de la maxime du jurisconsulte Henrion de Pansey citée in limine Juger l’administration, c’est encore administrer ». Cette dernière constitue l’un des fondements doctrinaux de l’école dite du juge, supérieur hiérarchique de l’administration qui plaide clairement en faveur d’un rôle politique du Conseil d’État. Si de nombreux auteurs, tous plus éminents les uns que les autres [9] plaident pour la thèse inverse, celle du contrôle purement juridictionnel, il nous semble bien que la première école soit animée par un pragmatisme plus important. En effet, affirmer que le juge administratif se cantonne à un rôle de pur contrôle de légalité sans immixtion aucune dans les affaires de l’administration active relève, à notre sens, d’une vision bien trop théorique. La simple évocation des degrés de contrôle du juge administratif sur les actions de l’administration – pouvant aller jusqu’à un contrôle d’opportunité [10] – et des importantes prérogatives que s’est arrogé le juge administratif dans le cadre du contentieux de la légalité, comme le pouvoir d’injonction [11] ou encore le pouvoir de modulation dans le temps des effets d’une annulation contentieuse [12], suffit à entrevoir une certaine activité d’administrateur et donc un rôle politique. 9Secondement, ce rôle politique est pleinement mis en lumière lorsque l’on se penche sur l’activité normative du Conseil d’État. En effet, si le législateur a conféré au juge administratif le soin de juger lui-même des affaires de l’administration, avec le passage de la justice retenue à la justice déléguée marqué par la loi du 24 mai 1872, il ne lui a pas pour autant donné un droit spécifique à lui appliquer. Or, ce droit spécifique est très vite devenu une nécessité, lorsqu’un beau jour de février 1873, le Tribunal des conflits affirmait que les litiges en responsabilité, portant sur des dommages causés par une activité de service public ne devaient pas être soumis au droit commun et qu’ils ne pouvaient répondre que de règles de droit spécifiques [13]. Le législateur ne s’étant pas engouffré dans cette brèche qu’il avait contribué à créer, il a bien fallu que le juge administratif saisisse et comble ce vide juridique. Le juge administratif a donc dû palier cette insuffisance législative par une véritable construction normative de nature jurisprudentielle. Si la doctrine administrativiste n’est pas unanime sur ce point, un certain réalisme nous pousse à nous ranger du côté de l’école réaliste moderne, qui compte dans ces rangs Marcel Waline, Georges Vedel ou encore René Chapus et qui prône clairement en faveur de l’existence d’un rôle normatif de la jurisprudence administrative [14]. C’est ainsi que la construction du droit administratif est pour majorité prétorienne et c’est la raison pour laquelle l’ouvrage de référence de l’administrativiste n’est pas un code ou autre texte de loi, mais bien les Grands arrêts de la jurisprudence administrative [15]. Si aujourd’hui, nous avons pu assister à un véritable phénomène de codification du droit administratif [16], il n’en demeure pas moins que le rôle du juge et a fortiori du Conseil d’État dans l’évolution du droit administratif est toujours fondamentale, tant cet aspect fait partie du génome du droit administratif. Ici, le rôle politique du Conseil d’État est particulièrement fort, puisque précisément, il s’évertue à créer des normes juridiques jurisprudentielles applicables à l’administration, à tel point que certains l’assimilent à un législateur » [17]. 10Ces différents aspects plaident particulièrement en la faveur de l’existence d’un véritable rôle politique du Conseil d’État, mais laissent également une question en suspens, celle des idées politiques développées par le juge administratif. Ici, nous adhérons volontiers, tout comme le Professeur Chevallier, à une vision du Conseil d’État comme incarnation de l’État [18]. En effet, il nous semble que le Conseil d’État s’inscrive dans la continuité de l’État, s’efforçant de l’accompagner dans les évolutions sociales, juridiques et autres. Toutefois, cette incarnation n’est aucunement synonyme d’une quelconque soumission du Conseil à l’évolution et aux idées de l’État, mais bien d’une certaine forme de veille à la sauvegarde de la stabilité étatique. À notre sens, cette veille se traduit par deux moyens, d’apparence antinomique, mais dont la conciliation est aux fondements de la philosophie politique du Conseil d’État, la reconnaissance de larges prérogatives de puissance publique et l’application d’un certain libéralisme limitant les excès de l’action administrative. Mais cette veille se voit aussi à travers l’accompagnement du droit administratif dans le sens des évolutions de notre droit en général. Cela se voit notamment dans l’accueil toujours réfléchi et progressif des normes de droit international [19] et de droit de l’Union européenne [20] ou encore dans l’appropriation par le juge administratif des règles du droit de la concurrence [21]. 11Cette étude des idées politiques du Conseil d’État pourrait aisément faire l’objet d’un travail plus approfondi, mais là n’est pas hélas l’objet de cette présentation sommaire. Espérons à tout le moins qu’elle aura suscité chez le portalien, chez le lecteur l’envie d’une escapade, d’une aventure, d’une odyssée intellectuelle à travers les vallons escarpés et mystérieux du droit administratif… Notes [1] J. Locke, Traité du gouvernement civil, rééd., Flammarion, 1999. [2] Montesquieu, De l’esprit des lois, rééd., Flammarion, 1993. [3] C. Eisenmann, La Justice dans l’État », in La Justice, PUF, 1961, p. 26. [4] Pour une étude approfondie sur la question, J-L. Mestre, Administration, justice et droit administratif », Annales historiques de la Révolution française, n°328, avril-juin 2002, p. 61. [5] Cette dualité fonctionnelle du Conseil d’État a pu être montrée du doigt, mais a toutefois été validée par la Cour européenne des droits de l’homme dans l’arrêt du 30 juin 2009, UFC Que choisir de Côte-d’Or contre France, req. n°39699/03. [6] M. Balluteau, F. De Baeque, D. Lochak, B. Tricot, V. Wright, La politisation du Conseil d’État mythe ou réalité », table ronde in Pouvoirs, n°40, 1987, p. 95. [7] B. Ribadeau Dumas, Les carrières dans et hors le Conseil d’État », Pouvoirs, n°123, 2007, p. 73. [8] Sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing, il y a eu 18 nominations au tour extérieur, alors qu’entre 1981 et 1990, il y en a eu 39 avec une tendance forte à la nomination d’anciens ministres, de membres des cabinets ministériels ou des personnes issues de l’entourage présidentiel. [9] Voir en ce sens G. Jeze, Contrôle de légalité et contrôle de l’opportunité », RDP 1944, p. 63. [10] Pour un exemple de contrôle de l’opportunité, voir la jurisprudence relative aux déclarations d’utilité publique en matière d’expropriation pour cause d’utilité publique, CE, 28 mai 1971, Ministre de l’équipement et du logement c/ Fédération de défense des personnes concernées par le projet actuellement dénommé Ville nouvelle est », Rec., p. 409. [11] Voir CE, Ass., 29 juin 2001, Vassilikiotis, Rec., p. 303. [12] Voir CE, Ass., 11 mai 2004, Association AC ! et autres, Rec., p. 197. [13] TC, 8 fév. 1873, Blanco, Rec., 1er supplt., p. 62. [14] M. Waline, Le pouvoir normatif de la jurisprudence », in Mélanges Scelle, LGDJ, t. 2, p. 613. [15] M. Long, P. Weil, G. Braibant, P. Delvolvé, B. Genevois, Les grands arrêts de la jurisprudence administrative, 19ème éd., Dalloz, 2013. [16] Voir Y. Robineau, Droit administratif et codification », AJDA, 1995, n° spéc., p. 110. [17] C. Lecœuvre, Le Conseil d’État, législateur, Thèse, Univ. D’Artois, 2004. [18] J. Chevallier, Le Conseil d’État au cœur de l’État », Pouvoirs, n°123, 2007, p. 5. [19] Voir notamment CE, Sect., 20 oct. 1989, Nicolo, Rec., p. 190 [20] Voir notamment CE, Ass., 8 fév. 2007, Sté Arcelor Atlantique et Lorraine et autres, Rec., p. 55 ; CE, Ass., 30 oct. 2009, Mme Perreux, Rec., p. 407. [21] CE, Sect., 3 nov. 1997, Sté Million et Marais, Rec., p. 406.
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